Nom de famille: ...
Prénom: Vüur
Surnom : Feuer, Comptesse Sanglante
Âge: 17 ans
Race: Demone
Classe: Immortelle
Fonction: Tueuse
Description physique : Cheveux long aux hanches. Encre. Et au soleil, des reflets bleutes. Elle a les levres sang et la peau pale. A cause du manque de sommeil, des souffrances accumuler et surtout, car aucun sang ne coule dans ses veines. Elle a un regard froid, comme mort. Elle est totalement indifferente... ou presque. Des belles formes, c'est une beaute que l'on regarde de loin, on ne peut se l'approprier.
Comportement: Une jeune demoiselle dure, froide bien malgré son pouvoir qui someille en elle. Elle est tres peu sociable depuis la mort de son meilleur ami. Elle parle peu, mais pense beaucoup, trouvant defoulatoire dans chaque personne qu'elle tuait. Ayant comme paradoxe, la haine de ceux qui lui avait tout enlever en tuant sa famille et ses amis. Elle vit dans le silence, la solitude et le sang. Chaque jour une nouvelle victime doit perir. Ayant quitter son peuple pour laisser son esprit voyageur s'accomplir un peu, elle se loue des chambres sans jamais vraiment payer, misant sur sa reputation de Comptesse Sanglante pour filer sans rien devoir payer. 'ais cette comptesse n'habitait que sa parure, le fond de son coeur toujours assouplit par le souvenir de son meilleur ami survit, la ou on doit la prendre. Le courage, ce que certain apelleront la haine, l'habite en permanence, elle ne sait jamais quand s'arreter, et est reveuse. Souvent son regard se perd dans le vide sans jamais revenir, temoignant de son vivant par la larme qui glissait trop souvent sur sa joue.
Rêve ou but: Rechauffer son coeur de pierre.
Peurs: Avoir des sentiments
Pouvoirs: Controler le feu et Telekinesie.
Caractéristique: Son rouge a levre est toujours agancer a la couleur de ses ongles.
Plus grands défauts: Mechante, Sordide, Cruelle etc.
Armes: Dagues.
Histoire:
Il arrivait de n'importe ou les cheveux ebourrifer semblant porter un terrible secret. Il m'avait prise par le bras pour m'entrainer dans un coin. Ses yeux bleu devorés d'abandon me fixaient intensement. Ses levres seches s'humidifierent au contact des miennes. Je le repoussais, et il ferma les yeux.
- Je vais te quitter, chère Vüur... Mon temps est finit ils savent ce que je sais... J'etais la moi, quand ils... l'aigle...
-Hervé mais qu'est-ce que...?
Me plaquant une main sur la bouche il m'imposa le silence.
-Chut. Ils entendront. Je ne peux rien dire, cela briserait ta destinée. Ne crois pas ce qu'ils diront, tu es maitresse. Immortelle... Ne laisse jamais ta flamme s'etiendre...
Sur ce, il deposa ses yeux sur mon visage une derniere fois, exercant une pression triste sur mes bras, il partit a la course. Et seule je restais dans la coursive, agenouillées sur le sol, a n'y rien comprendre.
Le lendemain, il etait enterrer sans ceremonie. Une veritée l'avait tuer. Ca me consernait.. Mais qu'est-ce?
+=+
C'est ce qui hantait les pensées de Vüur chaque jour. Orpheline dès sa tendre enfance sans veritable souvenir de ses parents, elle avait vecus dans un monde de feu et de sang ou elle se sentait etrangement chez soit. Elle s'etait lier d'amiier avec Hervé, un jeune homme de dix ans son ainer. Il avait perdu la vie dans un "accident" mais elle n'y croyait pas vraiment. Il savait qu'il allait mourir, il lui avait dit. Et c'etait sa faute, a cause d'une veriter roccambolesque dont seulement des bribes etait arriver a ses oreilles. Somme toute une histoire de fou a propos de ce qu'il devait etre le meutre sans emois de ses parents d'origine pour le simple plaisir qu'elle comprennait aujourd'hui. Hervé avait toujours eut trop d'imagination, c'etait peut-etre ce qui egaiait sa vie parce que depuis sa mort a grisaille d'antant avait refait surface. Ne trouvant couleur que dans le sang innocent, un plaisir coupable au quel elle s'adonnait frequament depuis un temps. Mais elle avait apprit de sa vie. Elle ne laissait pas les enfant survivre, elle ne volait pas qu'ils aient sa vie, personne ne meritaient ca. Les demons qui l'avait acceuillit l,avait fait a leur maniere, d'esclave a enfant battue, malnourrie et ffaiblie, elle avait briser ses chaines avec le temps qu'il lui fallut pour grimper les echelons. Aujourd'hui elle n'etat n'y plus, ni moins que la douleur et la haine qui l'habitait. Qui faisait d'elle une furie vivante, une furie desesperer qui trouvait dans le meurtre une facon de se tuer elle meme. Desesperer plus rien n'avait de sens apres ce jour. Une nuit de novembre qui s'annoncait si bien...Mais le destin se fou bien des emotions. Elle l'avait appris. Et maintenant elle l'enseignait, a la pointe de son epée.
L'avantage c'etait que plus rien ne la ratachait au emotions maintenant. Avant c'etait Hervé maintenant, que le vide. Le vide etait si facile a combler, et ce avec n'importe quoi. Pourquoi pas avec un tableau de chasse qu'elle prendrait plaisir a comparer avec un etre vil dans un bar ? Comparer les tetes couper au lieux des coeurs brisers. Elle etait libre, de sortir de son corps, d'allez ailleurs. Mais cela n'epargnait pas la lassiude, la melancolie. Pourtant elle les tua eux aussi. Ils ne meritaient pas d'exister apres qu'elle eux enterrer son humanité avec Hervé. Tout etait si loin maintenant. Tout etait sous terre. Mais dans le secret des roses apparaisait sur une tombe au marbre humide. Le vide se comble, mais il ne peut se remplacer. Elle n'y arrivait pas a le remplacer. Et tous ceux autour n'etait pas comme lui, elle avait perdu la perle rare. La perle c'etait eprdu d'elle meme. Mais c'etait ca son charme non ? Sa grande gueule. Elle aussi l'avait developper, ne cachant rien combien d'apres midi avaient-ils tout dit? Son enfance, elle l'avait raconter, les yeux humides, les tremblements dans la voix, ce qui chicottent au fond. Les blessures, les equimozes, la maigreure qui semblait revenir juste a y penser. La tempete de cris qui avait bercer ses nuit. Et toujours le cauchemard etaient plus joyeux que la realité... Comment expliquer sa vie lorsqu'on a vecu tellement que l'enfer nous semble bien ? Elle ne savait pas, elle ne savait plus. Il avait ete un frere et maintenant il etait de l'air. Son adolescence etait briser. une grande ligne briser qui demontrait les anciens haut et les recent bas. Les bas qui remettait la rage meurtriere en elle. Qui revelait ses mecanisme tueur, son gout du sang. Elle le sentait ce sang, couler sur elle, ruisseler sur son visage, ce dire que la elle etait belle.
C'etait ca la vie, un bain de sang quotidien accompagne d'une grande douleur au coucher. Lorsque les souvenirs etait plus fort que la carapace fatale qu'elle montrait aux autres. Ils ne pouvait pas deviner qui elle etait sous ses airs. Sous ses grands airs d'adolescente de 17 ans qui tuait plus que n'importe qui dans sa petite communauter. Qui pourrait se douter de son ame lacerer ? Personne. Personne ne s'en doutait, tout le monde les croyait, ses apparences. Et elle les maniait tres bien. DEvant tous et chacun elle etait toujours Vüur, la comptesse sanglante sans aucune emotion vivante.
Mais elle ne l'etait pas. Elle etait toujours seule, c'est pour ca qu'on ne la decouvrait pas, marchant lentement le regard perdu dans le lointain, la mer caressant ses pieds. Son adolescence avait ete mieu que son enfance. Entre Hervé et la bagarre elle lisait beaucoup. E;;e jouait du violon elle dessinait. Oui, lle dessinait, des boites pleine d'oeuvre, elle dessinait si bien. Elle dessinait ce qui peuplait ses reves avec un rendu impeccable. Elle avait un terrible talent pour maitriser une chose. Comme les armes. L'épée surtout. Hervé lui avait enseigner pour qu'elle puisse se battre. Ce qu'il avait mit dix ans a aprendre lui prit dix mois a maitriser. Il n'en revenait tout simplement pas. Elle etait capable de manier son epee avec une facilité deconcertante. Il la poussait a continuer, a apprendre, a s'amiliore. CE qui fut un loisir devint melancolique puis hargneux. L'epee servait de toute sa lame a l'abandon des sentiment...
+=+
La maison etait vide. Seulement moi qui avancait caressant du bout des doigts les portraits de la famille qui gisait mort par ma faute.
*Et pourquoi tout ca me plais?* Me dis-je.
J'errais lentement, mes talons resonnant dans l'atmosphere funeste. La maison muette, priver de son agitation quotidienne. Plus d'enfant, plus de remue-menage, plus de parent. Plus rien. Juste le silence. Et le fer... Le fer... La terrible odeur ferreuse je n'ai pu la supporter plus longtemps. J'etais partie en courant, rejoindre la mer, mais seule famille. Je m'etais ecrouler sur le sable fin, a cet endroit si empreint de souvenirs... L'endroit ou Hervé m'avait tant devorer de ses yeux calme et profond. Comme la mer... C'est peut-etre pour sa que j'aime la mer... Je caresse du bout des doigts ma bouche. C'est aussi ici qu'il avait gouter mes levres, une premiere fois. Mais pour moi, ce n'etais qu'un ami.. En qui parfois, l'amoureux prennait le dessus, je le laissais faire, gentiment. Jamais il n'avait pousser.
-Mais a jamais je ne pourrais plus le repousser en riant qu'il etait incapable de se controler...
+=+
Et puis Vüur continua sa route, abandonnant un brin son village pour se faire une reputation de tueuse encore plus grande. Comme pour se prouver qu'elle pouvait encore etre quelqu'un meme apres s'entre perdue en meme temps qu'un autre...
code1: Laurie
code2: Banane
Sujet: Vüur 
Jeu 5 Juil - 0:46
