prison

Arya était en prison toute seule, mais s'amusait avec sa magie. Elle faisait l'éviter les cailloux à coté d'elle. Elle les lançait sur le mur et ils éclataient. Elle aurait pu s'évader n’importe quand, mais elle avait voulu rester un peu, car elle avait vu un certain Norrec. Alors elle se leva, alla voir le garde et lui dit:

- Eh toi, va chercher Norrec si tu veux que je sois sage.

Le garde ne bougea pas, alors elle matérialisa son bâton avec les deux lames et lui trancha la tête. Elle dit alors:

- Voila ce qui arrive quand on ne m'écoute pas.

Elle fit alors disparaître son arme et se remit à s'amuser avec les caillou.

Norrec entra soudainement dans la prison et vit la tête d'un grade à ses pieds, tandis que le corps reposait accoté sur les barreaux de la cellule. Il vint pour élevé le ton et punir cette intolérance, mais en arrivant face à face avec la prisonnière, il se perdit dans son regard et regagna aussitôt son calme.

- Vous savez que se promener seul dans les montagnes est très imprudent, lui dit-il le regard fixé dans ses yeux.

Il appela deux autres gardes pour ramasser le dégât de la princesse. Norrec leur dit de les laisser seul, car il devait lui parler.

- Alors, racontez-moi ce que vous faisiez seule dans les montages, continua-t-il avec un air calme et détendu.

- Ben voyons, je me promenais comme si vous ne l'aviez pas remarqué. Si c’est le cas, ben tu devrais être comme ton ami que je viens de tuer.

Elle jouait toujours avec ses cailloux, mais cette fois, elle se leva d'une démarche assez séduisante.

- Et vous, pourquoi vous vous promeniez dans la foret ce n’est pas prudent non plus.

Elle passa devant lui et lui souffla quelque peu dans le visage pour le narguer un peu et le défi de son charme des yeux.

- Alors monsieur le galant, tu n’es pas venu ici juste pour savoir ce que je faisais, non?

Puis elle se rassit par terre avec une mèche qui cachait ses yeux.

Norrec resta immobile malgré tout ce qui venait de se produire. Il n'avait aucune raison d'être en colère, puisque ce n'était pas la première fois que les prisonniers se comportaient ainsi.

-Pour répondre à votre première question, c'est mon travail de me promener dans les montagnes et ramener des gens que nous trouvons, lui dit il sur un ton toujours aussi calme.

Il jeta un coup d'oeil à droite et un autre à gauche. En s'apercevant qu'il n'y avait personne, il put débuter la phase question.

- En effet, je ne veux pas savoir ce que vous faisiez là-dedans, mais j'aimerais que vous me parliez de vous: êtes-vous pour le bien ou pour le mal, qu’elles sont vos fonctions, etc.

- Mes fonctions à moi, pourquoi vous les dirais-je? Je ne vous connais même pas et puis même si je vous les diraient, que pourriez vous bien faire? Me menacer. Si je te dis ma fonction, bien, il faut que tu embrasses ton meilleur soldat devant tout ton peuple.

Arya éclata de rire, car elle trouverait ça drôle qu'il le fasse pour vrai.

-Je pourrais m'évader n’importe quand, alors essaie de ne pas me faire fuir si tu veux que je dise quelque chose. Ah, j'ai soif va me chercher quelque chose a boire, allez.

Elle se leva alors et fit apparaître son épée et commença à pratiquer ses techniques de combat tant qu'à ne rien faire, mieux vaut s'entraîner.

Heureusement que Norrec portait le casque de son armure, car s’il ne l'avait pas eu, on aurait put voir les traits de colère sur son front. Mais au lieu de ça, on pouvait constater que ses yeux brillaient de plus en plus d'un rouge vif. Il s'assit sur un banc qui faisait fasse à la prison et lui dit sur un ton plus imposant:

- Vous avez soif? Si j’étais vous, je me contenterais de votre salive, car je ne lèverai pas mes fesses pour vous tant que vous ne me parlerez pas de vous.

Sur un claquement de doigt, toute son armure disparut. Norrec avait les cheveux plaqués sur son crâne plein de sueur. Il avait réussi à retenir sa colère, mais ses yeux illuminaient toujours. Il reprit son air calme et poursuivit sa discussion:

- Si vous pouvez vous évader n'importe quand, pourquoi restez-vous dans ce trou à rat?

La porte derrière Norrec s'ouvrit brusquement. Ce dernier se tourna pour voir qui venait d'entrer. Il découvrit un jeune homme de la même grandeur que lui avec une musculature fort impressionnante. Norrec le regarda de la tête au pied et comprit qu'il avait à faire à un sorcier. Sur un ton neutre, il lui dit:

- Qui êtes-vous et que faites-vous ici?

Sur ces paroles, il jeta un coup d'oeil à sa droite pour apercevoir Arya qui n'était plus derrière ses barreaux, mais bien à côté de lui.

(Merci pour le compliment, lol)

Kill regarda l'homme devant lui, il était de la même grandeur que lui. Il vit aussi une jeune fille qu'il n'avait jamais vue, mais qui avait des traits semblables à Mortaz. Il avait trouvé Arya, mais il fit semblant de ne pas la connaître pour ne pas brusquer le chef. Il lui répondit d'une voix neutre.

- Premièrement, qui je suis, ça ne vous regarde pas. Et deuxièmement, je cherche quelqu'un qui se nomme Arya...

Norrec creusa dans sa mémoire et eu une rappelle que lui avait dit son père:

-Si tu demandes à une personne du côté mal qui il est, il ne te répondra pas.

En se rappelant de cela, Norrec recula de trois pas et il faillit trébucher. La femme qu'il avait fait captive était-elle importante dans son royaume? Pourquoi venait-on la récupérer? Puis Norrec reprit le contrôle de sa peur et agit comme un vaillant soldat. Il fixa un long moment le sorcier dans ses yeux pour enfin lui dire:

- Je ne veux aucun problème. Si cette femme est enfermée ...

Il regarda à sa droite en se rappelant qu'elle n'était plus enfermée, mais bien à côté de lui. Puis, il poursuivit:

- Si elle était enfermée, c'était parce qu’elle était seule et mon devoir était de la ramener afin de lui poser des questions.

Kill regarda le chef reculer, ce qui le fit éclater d'un rire sombre, qui aurait peut-être glacé le sang de quelqu’un, mais lui n'en fit rien comme s’il avait repris confiance en lui. Il lui dit :

- Bien, très bien. Si vous voulez bien nous laisser seuls quelques moments pour qu'on puisse se parler.

Il regarda Arya et lui sourit. Puis il reporta son regard sur le chef.

Norrec se demanda qu'est-ce qu'un sorcier du mal et une femme inconnue pourrait faire les deux ensembles. Puis, par mesure de sécurité, il dit au sorcier:

- Écoutez, je ne veux aucun problème. Si je suis vue avec vous je suis condamné à mort. Alors, je vais m'asseoir sur cette chaise et je vais vous écoutez parler. Faites comme si je n’étais pas là.

Norrec eu un malaise, il se trouvait au point de mourir. Si quelqu'un le voyait avec eux ou il ne savait pas quels étaient les intentions du sorcier et il ne savait pas qui était la femme, mais il pria pour que ce ne soit pas une immortel.

- Regarde qui vient me récupérer. C’est le chien de garde de mon père. Ah, vous me faites rire vous, toujours à me chercher. Je ne suis pas en danger et de toute façon, je serais capable de revenir sans aucun problème. Alors pourquoi venir me chercher. Peut-être que mon supposé père veut pour la première fois me porter un peu d'attention, ce qui m'étonnerait beaucoup. Je connais Norrec depuis peu et déjà, il me porte plus d'attention que vous deux réunis ensemble.

Arya prit la main de Norrec et s'en alla plus loin et dit:

- Vas-y, je vais maintenant répondre à toutes tes questions, enfin, presque toute...

Norrec arqua un sourcil. Il ne savait plus quoi dire. Il suivit la jeune femme sans rouspéter. Cela faisait même pas deux heures qu'il parlait avec elle et il lui donnait plus d'attention que son père. Mais qui était son père? Cela serait sa première question:

- Ton père ne t'aime pas, mais qui est-il?

- Mon père!!! C'est une crapule, voilà ce que sait. C’est un immortel incompétent qui se prend pour le maître du monde et m'ignore à cause qu'il ne supporte pas que je sois plus forte et plus importante que lui.

Arya regarda dans les yeux Norrec et attendit sa réponse.

Incapable de résister au regard de la jeune femme, Norrec eut du mal à réfléchir, mais une chose lui vint à l'esprit. Son père était un immortel et elle était plus puissante que lui. Il répondit enfin:

- Alors vous êtes une immortelle?

Ses yeux perdirent tous leurs éclats, comme si elle l'ensorcelait.

Avant même qu'Arya puisse répondre, la porte derrière Killoak s'ouvrit. Un elf sombre entra dans la pièce. Norrec reconnu le visage de son ancien ami. Il le regarda entrer, puis il regarda Arya. En se retournant vers lui, il lui dit:

- Assis-toi là je suis à toi bientôt.

Puis, il se retourna vers Arya et reprit sa question, mais il put réfléchir. Il eu un flash. Les chiens de garde de mon père, un immortel incompétent qui se prend pour le maître du monde, je sois plus forte et plus importante que lui. Il recula en gardant toujours son regard fixé. Il savait maintenant que son père était Mortaz et qu'elle était sa fille: la déesse déchu Arya. Il mit un genou en terre et dit:

- Je suis désolé de vous avoir offensé tout à l'heure, mais je ne savais pas que vous étiez... la ... Arya la fameuse fille de Mortaz. Pardonnez-moi.

Il baissa la tête en guise de soumission.

- Ah, vous voilà chère.

Morakmoon s'inclina envers la personne la plus importante.

-Votre père se fait du souci, c'est la première fois que je le vois vous portez de l'attention sans avoir une pensée d'action militaire ou de contrôle de territoire.

Il se tourna vers son maître et le regarda dans les yeux avant d'éclater de rire.

-Norrec, cher maître, que faites vous ici avec Killoak et Arya?

Tout ceci le mélangea, il pensait trouver Arya et lui demander si elle voulait retourner chez son père. Si la réponse était négative, il irait faire le message a Mortaz. Mais au lieu de ça, Killoak le sorcier du village avec son cheval redoutable et Norrec celui qui l’avait recueilli pendant sa détresse, celui qui l’avait nourri et entraîné afin de devenir l'homme qu'il est aujourd'hui était maintenant à côté de la déesse.

Il regarda sombrement Killoak pendant 2 minutes...

(dsl pour le retard)

Tout s'était passé si vite que Killoak eu de la misère à reprendre le cours de ce qui c'était passé. Il regarda Morakmoon d'un regard sombre puis Arya. Il lui dit,

- Chère Arya, votre père veut seulement s'assurer que vous êtes toujours là et non pas capturer.

Il dit les quelques derniers mots en regardant celui qui s’appelait Norrec.

- Mais si vous voulez rester ici, je vais aller le dire a votre père pour ne pas qu'il s'inquiète, si, bien sur, vous le voulez. Sinon, je me tairai et je lui dirai que vous vous promeniez encore dans la forêt et que vous ne vouliez pas que je vous dérange. Comme ça, il ne saura pas que vous êtes ici.

- Pour mon père, dites à se minable que je suis morte. Ne viens pas me dire qu'il s'inquiète pour moi, il ne veut juste pas perdre son bouclier qui peut le protéger. Je veux que tu l'inquiètes au max. Dites-lui que je suis morte, d'accord et maintenant partez ou je vous tue.

Puis elle se tourna vers Norrec et lui dit:

- Désolé de cette petite scène de famille, la mienne est vraiment bizarre. Surtout mon idiot de père que je ne supporte plus, il s’appelle Mortaz le connaissez-vous?

Norrec observa la scène et jamais il n'avait vue quelqu'un détester son père autant qu'Arya. Pour la première fois de toute sa vie, ses yeux perdirent tous leurs éclats. Il se releva et regarda Arya dans les yeux en lui répondant:

- J'ai entendu des milliers de légendes sur cet homme. Mais ce qui revenait le plus souvent, s'était qu'il est un tueur sans remords.

Puis la porte s'ouvrit à nouveau, mais cette fois c'était des gardes et l'un d’eux cria:

- C'est un traître, arrêtez-le!

-Vous n'y toucherai pas sans ma permission, si vous ne le voulez plus, moi je vais le prendre.

Les gardes refusèrent de partir, alors Arya fit apparaître ses deux épées et se téléporta à coté d'eux. Elle trancha la tête d’un des deux gardes et se retéléporta à coté de l'autre garde et lui trancha la main qui tenait l'épée et souffla entre ses lèvres:

- C’est qui maintenant qui est le mieux placé pour dire qui est le traître, toi ou moi?

Puis elle lui trancha la tête. Elle alla vers Norrec et le téléporta dans la forêt.

(suite de Arya et Norrec dans la foret)

Killoak écouta Arya jusqu'à la fin, hocha de la tête, regarda ce que l'elfe allait faire puis sortit au moment où deux gardes entraient dans la prison. Il les regarda quelques secondes puis sauta sur Ebene et partit au galop dans la foule. Ils s'écartèrent tous et le regardèrent partir, intrigué. Il galopa jusqu'à la clairière où ses choses étaient cachées, enfila son armure, mit la selle et le licou à Ebene, puis prit son épée et remonta sur l'étalon. Il repartit au triple galop vers le palais de Mortaz. Rendu là, il descendit de son cheval et le décela.

(suite au palais de Mortaz dans le sujet La nouvelle)