Mélissandre

Nom de famille : D'Eastall
Prénom : Mélissandre
Âge : Seize ans.
Race : Humaine avec du sang de fée (sa grand-mère maternelle)
Classe : Princesse.
Fonction : Héritière du bien.

Description physique : Les premiers mots qui viennent à l’esprit lorsque l’on voit la princesse Mélissandre sont : Beauté angélique. Sans être d’une splendeur sensuelle et provocatrice, la jeune fille possède un éclat de délicatesse et de fragilité unique à elle seule. Ses longs cheveux blonds ondulés lui donnent un air angélique et ses yeux saphir brillent de gentillesse. D’ailleurs ses yeux et sa physionomie menue et petite sont les seules choses qu’elle a en commun avec les femmes de son royaume. Son visage ovale aux traits harmonieux donne envie de lui faire aveuglément confiance. Elle a un sourire de perles éclatant et chaleureux.

Comportement : Mélissandre est à l’image de son apparence physique : délicate et douce. Elle aime la vie et les plaisirs simples. Elle sait user de tact quand il le faut et ne parle jamais en présence d’inconnu ou pour ne rien dire. Elle est comme les princesses dans les contes de fée ce qui a ravis plus d’un cœur. On a déjà sollicité plusieurs fois sa main, mais ses parents ont choisi le pire aux yeux de leur adorable enfant. Sans être une sportive comme aurait aimé ses parents, elle est plutôt lyrique. Sa générosité va jusqu’à l’abnégation.

Rêve ou but : Que la paix et l'amour règne.

Peur : L'obscurité lorsqu'elle est seule, les armes, les maladies et le chaos.

Pouvoir : ~

Caractéristique : Elle a un charisme qui se remarque partout. Elle ne passe jamais inaperçue, mais sa grande faiblesse fait d'elle une proie facile.

Plus grand défault : Imprévisible et lunatique.

Arme : ~

Histoire : La journée était ensoleillée et le chant des oiseaux rendait encore plus paisible ce moment de contemplation. Le roi et la reine observaient leur deuxième enfant avec un amour indéfectible. Ils ne cessaient de s’émerveiller de chacun de ses mouvements. La douleur en avait valu la peine aux yeux de la souveraine. Dans un souffle, elle déclara que la petite fille porterait le nom de Mélissandre. Un prénom cristallin et joli, comme leur bébé. Quel beau début d’histoire n’est-il pas? Le reste est pareil, comme sur un nuage de ouate blanc.

Enfant disciplinée et obéissante, Mélissandre était une élève prodigieuse quand il ne s’agissait pas de capacité physique. Sa physionomie frêle ne lui permettait pas les exercices. Seul l’équitation était convenable et elle y excellait presque autant que dans les arts où elle était passée maître. Sa voix était un bijou, sa grâce un trésor. Tous les invités qui venaient au palais étaient rapidement conquis par cette belle petite princesse qui semblait avoir été créé à l’image des dauphines des contes de leur enfance. Malheureusement, être belle et adorable à aussi ses désavantages. Elle se retrouva fiancée à un homme nommé Valdarius à l’âge de quatorze ans. La jeune princesse aimait bien ce jeune homme de six ans son aîné. Ils passaient de nombreuses heures à discuter de toute sorte de sujet, partageant leur idée. Ils repoussèrent leur mariage et ainsi le moment où ils partageraient un lit. Cet acte devait être fait en toute connaissance de l’autre selon Valdarius qui n’en serait pas pour autant à sa première amante. Cependant avec Mélissandre, c’était différent. Il était épris d’elle et elle allait devenir sa femme coûte que coûte, celle avec qui il passerait le restant de ses jours. Il en était devenu complètement fou, à un point tel que cela en était dangereux. Surtout que la jalousie le dévorait. Quant aux sentiments de la jeune fille, c’était difficile à dire. Elle qui n’avait jamais connu l’amour, ne pouvait pas savoir quel genre d’affection elle lui portait, mais une chose était certaine : elle désirait l’épouser et lui donner des enfants. Le laps de temps de plus qui lui était accordé par le déménagement de la date de son mariage lui donnerait un peu de temps pour se préparer et pour mieux connaître son fiancé. À deux mois de leur épousailles, elle décida de faire un voyage pour voir sa lointaine cousine Ancolie, dans les montagnes, qui devrait assister au mariage. Elle n’est arrivée que depuis quatre jours et adore l’atmosphère qui règne au palais. Mélissandre reçu souvent des lettres d’amour de son fiancé, mais les garda pour elle. C’est un peu comme un secret. Ancolie lui avait dit qu’elle s’amuserait sans doute plus si tout le monde ignorait qu’elle s’apprêtait à épouser un homme. La jeune fille espéra découvrir bientôt ce que voulait dire sa cousine… malheureusement, elle dût repartir avant que les batailles ne soient trop près. Il ne reste plus qu'un mois avant son mariage et au fil des jours, Mélissandre est de moins en moins certaine d'elle quant à l'idée du mariage même si elle n'osera jamais s'élever contre le choix de son père. Quelque chose chez Valdarius la dérange... Mais quoi?