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 Cassiopée

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Cassiopée

Cassiopée


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 19/06/2007

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MessageSujet: Cassiopée   Cassiopée Icon_minitimeMar 19 Juin - 21:48

Nom de famille : De Faxelange
Prénom : Cassiopée
Âge : Dix-sept ans.
Race : Humaine
Classe : Ensorceleuse (mage)
Fonction : Muse.
Description physique : Cassiopée est une jeune fille d’une grande beauté. Elle possède de longs cheveux noirs bouclés doux comme la soie. Ses yeux sont d’un gris pâle métallique, mais d’une grande tendresse. Ils semblent toujours exprimer de la tristesse ou un brin de mélancolie lorsqu’elle ne sourit pas. Sa peau au teint d’ivoire est comme du satin. Cassiopée n’est pas très grande, mais a, tout de même, une silhouette très féminine. Son visage est très expressif lorsqu’elle le désir. Menue et fragile, on a surtout envie de la protéger lorsqu’on la voit. Tout ces éléments font d’elle une muse exemplaire.

Comportement : Cassiopée n’obéit pas aux normes morales. Elle se conduit comme elle l’entend, aussi insensée que cela puisse paraître. Authentique, elle déteste qu’on lui marche sur les pieds ou qu’on l’oblige a quelque chose : elle préfère de loin la liberté d’action. La jeune muse n’aime surtout pas qu’on prenne pitié d’elle parce qu’elle ne gagne pas beaucoup d’argent : elle a choisit cette vie et changera quand cela ne lui conviendra plus. Secrètement romantique et idéaliste, elle rêve de l’amour, mais n’ose pas trop y croire, de crainte d’être déçue.

Rêve ou but : Aucun. Elle préfère se laisser aller avec le temps.

Peurs : Être défigurée, ne plus être libre, souffrir.

Pouvoirs : Flash aveuglant, bouclier de lumière, cheveux d’eau, prison de glace, voler et tornade.

Caractéristique : Cassiopée a un tatouage d’éclipse entre les omoplates. Il n’est pas gros. De la taille du rond formé lorsque l’on joint le pouce et l’index.

Plus grands défauts : Perfectionniste.

Armes : Aucune qui soit conventionnelle : son charme.

Histoire : La pire tempête depuis bon nombre d’années s’abattait sur le village. Les enfants pleuraient plus fort à chaque coup de tonnerre. Les adultes, eux, craignaient que la récolte ne soit noyée par tant de pluie. Enfin, surtout la classe paysanne. La noblesse était surtout soucieuse, dans son avarice, du prix qu’aurait la nourriture si le déluge continuait. Monsieur Atrion de Faxelange et madame Anya de Faxelange, sa femme, n’avaient pas le temps de songer à tout cela. Leur quatrième enfant sur le point de voir le jour. Le baron et son épouse avaient déjà deux fils, Alec et Jeffrey, et une fille, Marina. Peu maternelle, la baronne de Faxelange faisait cependant la fierté de son mari, car elle était une très belle femme qui lui donnait aisément des enfants vigoureux et brillants de santé. En six ans de mariage, ils en avaient déjà quatre. Le caractère venimeux et la langue de vipère de madame Anya en faisaient une alliée de choix, mais éphémère ou une ennemie redoutable et acharnée qui détruisait votre réputation et votre vie en moins de deux jours. Le baron, pour sa part, était un homme de belle prestance, mais aux habitudes peu recommandables. Dans son sous-sol, là où il était le seul à pouvoir aller, il enfermait plusieurs jeunes filles vierges qu’il s’amusait à martyriser. Personne ne le soupçonnait, naturellement, dans les disparitions mystérieuses de ces pucelles. La durée du séjour de ces filles variaient selon le plaisir qu’Atrion prenait avec elle, mais règle générale, elles ne demeuraient jamais plus d’un mois après avoir été déshonorées. Et c’était bien parce que le harem contenait une vingtaine de vierges en tout temps. Le maître des lieux prenait grand soin de renouveler chaque fille perdue. Quand le baron décidait qu’il était las de l’une d’elle, il la torturait pendant de longues heures avant de l’enfermer dans un cercueil de pierres où s’empilait squelettes et cadavres en décompositions des autres anciens jouets de monsieur de Faxelange. Une fois le couvercle refermée, les jouvencelles n’avaient aucune chance de sortir de là vivantes. Parfois, elles étaient deux à être toujours en vie en même temps dans ce dernier lieu de repos. Alec, Jeffrey et Marina, pour leur part, étaient des enfants gâtés et capricieux. Aux yeux de leur parent, ils étaient des enfants modèles, mais en vérité, ils étaient d’immondes gamins tout à fait détestables. Les Faxelange était une puissante famille respectée, mais haït par tous. Atrion songeait au galbe délicat du sein blanc de sa nouvelle acquisition quand sa femme poussa une plainte monstrueuse. Cet accouchement s’éternisait. Le baron étouffa un soupir qui aurait rendu l’humeur de sa femme plus exécrable encore. Elle jurait déjà suffisamment ainsi! Anya poussa sur l’ordre de la sage-femme. Celle-ci secouait frénétiquement la tête. Elle savait que la baronne y laisserait la vie. Cette dernière donna une autre poussée puis retomba sur l’oreiller, en nage. Son visage ruisselant de sueur était crispé dans sa douleur et sa rage. La sage-femme ne voyait même pas le bébé arriver. C’était trop certain que la baronne mourait et qu’elle, serait exécutée pour cette mort. Anya cessa tout à coup d’haleter. Un silence irréel tomba dans la pièce. L’accoucheuse leva les yeux et vers le visage de la bourgeoise. Elle fixait son ventre. Elle toucha la peau tendue de celui-ci et ouvrit de grands yeux horrifiés.

- Cette chose… est…

Le baron montra une pointe d’intérêt et se pencha en avant pour voir l’air ahuri de sa femme, tout comme la sage-femme s’avança un peu pour examiner le ventre qui paraissait normal. La baronne avait à peine terminée sa phrase qu’un bruit immonde se fit entendre, comme lorsque l’on déchire une feuille de papier lentement. Sans qu’ils comprennent pourquoi, Atrion et l’accoucheuse se retrouvèrent soudainement couvert de sang tandis qu’Anya poussa un cri animal si terrible qu’on raconte qu’il donna des cauchemars à tout le village pendant des mois. Quand enfin l’époux réalisa ce qui se passait, il poussa un rugissement de dégoût tout comme la sage-femme. Madame de Faxelange était morte, les yeux et la bouche ouverte en un cri abominable, son ventre portant une ouverture béante. Sa chair avait éclatée, laissant voir ses entrailles et ses os jusque sous sa poitrine. En son ventre se mit à grouiller le petit être qu’elle n’avait pas réussit à mettre au monde. Ce bébé fit penser de près, et surtout dans cette situation, à un ver qui pourri la pomme de l’intérieur. La sage-femme sentie son devoir reprendre le dessus. Elle saisit le nouveau-né et le prit pour le nettoyer. Il ne se mit même pas à pleurer. Après avoir coupé le cordon et l’avoir emmailloté dans une couverture, elle le tendit au père, nerveuse de s’en débarrasser au plus tôt.

- C’est une fille.

Le baron fixait le ventre ouvert de son épouse. Curieuse, l’accoucheuse y jeta un coup d’œil. Un autre bébé se trouvait là, dans la matrice… Il se trouvait dans un état de décomposition avancée. L’horreur saisit la femme qui eût un violent haut-le-cœur. Elle ferma les yeux et un moment.

- Prenez-la!
- Non!
- Prenez-la cette enfant du diable! Hurla-t-elle.
- Emmenez-la loin d’ici! Très loin que je ne la revois plus jamais!

La sage-femme avait envie de pleurer. L’idée de rester une minute de plus en compagnie de cette chose la rendait folle de terreur. Elle prit sa cape et sortie sous la pluie qui lava en grande partie le sang qui la recouvrait. Le bébé se mit à pleurer, ouvrant ses magnifiques yeux saphire.

- Tais-toi donc créature de l’enfer!

La femme s’arrêta près de la fontaine au centre de la place publique et posa le bébé sur les marches. Elle s’enfuit ensuite en courant. La nuit durant, la petite fille pleura, réclamant une mère qui était morte, un père qui la reniait, une femme qui l’avait abandonnée. Au matin, de gros nuages noirs roulaient encore dans le ciel. Quelques personnes se risquèrent à l’extérieur. Quelques-uns se rassemblèrent autour de la fontaine, étonnés d’y voir un enfant abandonné. Il avait les lèvres bleues et le mouchoir, indiquant ses origines nobles, le recouvrant était détrempé. Plusieurs s’insurgèrent qu’on ait osé abandonner cette pauvre créature sous un pareil orage. Voyant l’attroupement, le comte de Chateaupers s’approcha avec son épouse. La petite fille leva son regard azuré sur eux. Aussitôt conquis par des yeux si doux, ils la prirent et décidèrent de la garder avec eux. Tout le monde se doutait que c’était les Faxelange qui avaient abandonné cette enfant puisque la baronne était la seule bourgeoise à avoir pu mettre au monde ce bébé. La seule autre femme enceinte était la duchesse Boutefeux qui n’en était qu’à cinq mois de grossesse. Étrangement, le nourrisson ne présentait aucune anomalie. La nouvelle du décès de la baronne donna cependant une raison plausible à cet abandon : le baron était furieux et accusait le bébé d’avoir tué son épouse. La comtesse étant stérile, elle vit en cette petite fille une bénédiction du ciel. Ils emmenèrent donc cette merveille dans leur manoir et firent quérir une nourrisse sur-le-champ. La comtesse Isabeau donna un bain chaud au bébé pour le réchauffer. En l’observant, elle se demanda comment elle pourrait la prénommer. Un sourire aux lèvres, elle souffla :

- Cassiopée car c'est un beau prénom et que tu es belle...

Heureuse d’avoir trouvé un prénom, elle emmitoufla sa petite fille dans une serviette et l’emmena dans la chambre qu’elle n’avait plus ouverte depuis des lustres. Cette chambre avait été faite après son mariage avec le comte en prévision de leur premier enfant qui, malheureusement, ne vint jamais en trois ans d’union. L’adorable petite fille assoupie, bien au chaud dans les couvertures et le petit pyjama qu’on lui avait mis. Enfin quelqu’un s’occupait d’elle, et elle en était consciente, étrangement…

Six ans passèrent et la petite Cassiopée grandit et prit ses forces. Même si elle demeurait fragile d’apparence, sa santé était d’une robustesse étonnante. Isabeau adorait sa fille comme si elle était sa vraie enfant et il en était de même avec le comte. Elle était d’une prodigieuse intelligence et avait tout pour plaire à ses parents. Elle les comblait d’une joie immense et d’une satisfaction tout aussi grande. Cependant, un jour qu’elle revenait de chez son maître d’apprentissage, ses parents l’attendaient dans le salon avec deux hommes, la mine basse. Devant leur mine perplexe, la gamine s’avança doucement, les interrogeant les uns après les autres du regard. C’est la comtesse qui parla la première.

- Cassiopée… Nous avons une triste nouvelle pour toi.
- Mère… Pourquoi pleurez-vous?

Elle s’approcha de sa main en tendant la main pour essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues. Un des deux hommes saisit sans douceur son poignet et le tordit. Cassiopée échappa un gémissement de douleur. Le comte poursuivit donc :

- C’est ton père. Il vient te chercher.
- Mais c’est vous mon père!

Il secoua la tête en baissant son regard. Les deux hommes entraînèrent la jeune fille qui se débattait jusqu’à la diligence où ils la jetèrent. Le baron se mit à la rouer de coups pour qu’elle se taise. Cassiopée perdit connaissance. Quand elle ouvrit les yeux, elle se trouvait dans un endroit sombre et humide. Elle entendit des sanglots dans une pièce tout près. Elle tenta de percer les ténèbres, mais n’y arriva pas.

- Ouhou! Il y a quelqu’un? Demanda-t-elle.

Les sanglots cessèrent puis un reniflement se fit entendre.

- Oui, moi.

À force de parler, Cassiopée découvrit tout sur son père et sut qu’elle se trouvait dans le sous-sol de la villa. Quelques heures plus tard, le baron venait la cherchait. Il la malmena jusqu’en cuisine où il la cloîtra avec les domestiques en lui ordonnant de travailler. La jeune fille ne sut quoi faire au début, mais une servante compatissante la pris sous son aile.

- Où sont tes parents, fillette?
- On m’a dit que le baron était mon père… C’est donc que ma mère est la baronne.
- Oh! Vilaine créature!

De sa cuillère d’argent brûlante, elle se mit à rouer de coup la petite fille en l’insultant, la traitant de démon, d’engeance du diable, d’enfant maudite. Elle lui cracha au visage, la saisit par les cheveux et la poussa contre le mur. Les autres domestiques, attirés par le bruit, demandèrent ce qui arrivait. En apprenant qu’elle était le bébé qui avait tué l’autre dans le ventre de sa mère, ils se mirent à la frapper eux aussi. Ce fut ainsi pour le restant de la journée. Le lendemain, les serviteurs reçurent des tiges de métal long d’un mètre et demi et aussi large qu’une épingle. Le bout, d’ailleurs, était pointu. Avec ces armes, ils reçurent l’ordre de frapper Cassiopée jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse, sans jamais la tuer. Elle devait souffrir. La pauvre enfant ne pouvait même pas se protéger. Huit ans passèrent ainsi. Au fil du temps, le comte, ses enfants, par conséquent les frères et sœur de la petite fille, ainsi que sa nouvelle épouse qui était dix fois plus garce que la précédente, se joignirent aux domestiques pour frapper la fillette. Une nuit, elle alla se coucher, ensanglantée, épuisée. Elle regardait par la fenêtre quand, sur un coup de tête, elle sauta par la fenêtre. Heureusement, elle n’était qu’au deuxième étage. Elle atterrit sur ses pieds et s’enfuit de la villa à toute jambe. Il ne fallait pas qu’ils la rattrapent. Elle se mit à pleurer tout en courant comme jamais. Le vent ressemblait à un escargot à côté d’elle. Cassiopée prenait des chemins au hasard et finalement, au bout d’une heure, elle entra en collision, au détour d’un bâtiment, avec un grand homme. Il la prit par les épaules.

- Ça va?
- Euh… Oui, oui!
- D’où tu viens ainsi?
- Mon père et ma belle-même, hoqueta-t-elle avant d’éclater en sanglots.

L’homme la prit et l’entraîna vers une auberge où il lui commanda une soupe chaude. Elle la mangea puis lui raconta tout. Émue par son histoire et surtout sa beauté, il lui proposa un marché : elle n’aurait jamais à payer sa nourriture ni ses vêtements, elle ne vivrait pas richement et recevrait un salaire plus que médiocre, mais elle pourrait rester à l’abri avec lui en échange d’être sa muse. Cassiopée accepta avec un faible sourire et ait, depuis trois ans la muse de Victor. Ils leur arrivent souvent de devoir fuir, car le père de la jeune muse la cherche toujours.
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MessageSujet: Re: Cassiopée   Cassiopée Icon_minitimeMer 20 Juin - 10:04

Clairement accepte pour moi, reste a voir avec un autre admin.
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MessageSujet: Re: Cassiopée   Cassiopée Icon_minitimeMer 20 Juin - 19:17

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MessageSujet: Re: Cassiopée   Cassiopée Icon_minitime

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