Retour à Eastall

Kilik se promenait doucement dnas les bois sans ce rendre compte d'ou il allait. Il marchait pas a pas dans les bois en pensent que paine devait surement faire quelque chose de bien pour qu'elle ne l'appelle pas. Puis il s'approcha d'un ruisseaux et vit une femme au cheveux blond. Il s'en approcha un peu et s'arreta pret d'elle et lui dit:

-Boujours cher, ce n'est pas prudent de vous promener seul ici surtous sans arme. J'ai vu votre diligence et elle ne sera pas prete de si tot alors nous pourrions peut etre faire connaissance. Je me nomme kilik et vous charmante demoiselle?

Mélissandre sursauta légèrement et se leva. Elle n'avait pas vu ni entendu la venue de l'homme. Doucement, elle se retourna. Ses grands yeux saphirs tombèrent pile dans ceux de l'étranger. De la manière dont il parlait, elle aurait presque pu le considérer comme ironique. Elle recula d'un pas, la gorge sèche. Elle jeta un bref coup d'oeil aux hommes un peu plus loin. Auraient-ils le temps de réagir si ce nouveau venu voulait l'agresser de quelconque manière? Sans doute. Elle lui répondit d'une voix sereine, non sans se décrisper, mais surtotu avec une gêne évidente :

- Je... je... Mélissandre.

Ce simple nom sonnerait des cloches, masi elle en avait cure. Soudainement, elle réalisa que s'il était un bandit, il verrai en elle une véritable mine d'or. Mélissandre déglutit difficilement et se déplaça doucement sur le côté pour s'approcher de son escorte.

- Enchantée, sire Kilik, souffla-t-elle en le fixant droit dans les yeux.

Au moindre geste suspect, elle était prête à s'élancer vers ses protecteurs.

-Ne vous inquiéter pas cher je ne veux pas vous faire male, vous voler ou même vous agresser car si cela aurait été le cas je vous aurais prit par surprise et de toute façon votre garde ne pourrait rien contre moi mais je vous comprends de ne pas me faire confiance car mon allure ne donne gère le respect mais avec les femmes je suis aucunement violent ou méchant à moins que vous m'attaquiez cher mais cela m'étonnerait car vous avez peur de moi mais n'ayez pas peur. Si vous voulez nous pouvons aller parler plus proche de votre escorte comme sa vous vous sentirez plus en sécurité cela vous convient-il.

Puis il lui tendit ses armes sauf son bâton rouge et lui dit:

-tenez prenez comme sa je ne pourrai pas me défendre ceci est une preuve que je ne vous veux aucun mal.

Mélissandre considéra les armes avec un regard dédaigneux et se détourna pour commencer à marcher vers son escorte. Elle fit un signe par-dessus son épaule, sans même se retourner, à Kilik de la suivre. Elle souleva ensuite le bas de sa robe pour ne pas glisser dessus ou la salir. La princesse avait une belle démarche tout à fait convenable à son haut rang. Elle avait la grâce, la fluidité, la légerté et l'assurance d'un pas noble, sans en mettre trop. Le valet se retourna, son air toujours sévère sur les traits. Il lança avec sècheresse :

- Sa Majesté ne devrait pas s'éloigner ainsi de son escorte.

Il pointa alors son index long fin et un peu tordu vers Kilik. Il darda un regard noir sur la dauphine qui ne broncha pas un moment.

- Qui est-il?
- Sire Kilik, répondit-elle simplement comme si on lui avait demandé comment elle allait.
- Mais encore?
- Je ne sais pas!
- Vous ne savez pas et vous le ramenez ici?

Lassée de la suffisance de son valet, Mélissandre fit un geste qui frustra l'homme qui était ainsi réduit au silence, à moins d'avoir un culot terrible. Heureusement, il était poli. Les autres hommes envoyèrent deux des leur pour trouver une nouvelle roue, leur donnant celle brisée afin qu'ils en trouvent une des bonnes dimensions. La princesse se tourna vers ses accompagnateurs.

- Nous nous isolons un peu pour discuter.

Elle inclina légèrement la tête en signe de salut et jeta un regard invitant à Kilik pour qu'il la suive. Elle n'alla pas très très loin. Elle s'arrêta à l'orée des bois un peu plus loin. Mélissandre se tint droite malgré la proximité d'un arbre auquel elle aurait pu s'appuyer.

Kilik la vi parler au garde alors il alla a coté du garde.

-moi a votre place je ne parlerait pas trop parce que il se pourrait qu'il vous arrive un malheur. Des petit soldat comme toi j'en tuer au moins des milier par jours alors ce n'est certainement pas toi qui va me barrer la route et pour mon nom tu na qu'a m'appeller maitre et ses tous.

Puis kilik suivi mélissandre avec une demarche sure et tres decontracter.

Le garde se contracta, visiblement très contrarié. Lui? Appelez un petit prétentieux maître? Il cracha au sol et jeta un coup d'oeil aux autres qui acquiescèrent. La belle Mélissandre se retourna lentement, attendant que Kilik atteigne son niveau. Les hommes de son escorte se rassemblèrent alors et celui qui avait été vertement réprimandé cria pour que la princesse l'entende :

- Votre Majesté! Revenez, ce n'est pas prudent. Cet homme menace de mort votre escorte!

La dauphine jeta un coup d'oeil au soldat et comprit qu'il était furieux. La jeune fille soupira longuement, l'air ennuyée plus qu'autre chose. Elle fit une moue boudeuse et s'adressa alors à Kilik directement. Ses yeux plongèrent dans les siens avec un aplomb qui ne se répendait, malheureusement pas dans son attitude plutôt timide et réservée.

- Sire, je vous prierais de rester calme et surtout civilisé envers mon escorte. Elle mérite plus d'égard et je ne permetterai pas un autre écart de votre part.

Elle inclina doucement la tête pour indiquer que c'était sans réplique et que rien ne la ferait revenir sur ses paroles. Mélissandre détourna alors les yeux, promenant son regard sur le paysage qui les entourait. C'était serein, paisible. La jeune fille regrettait déjà les jardins du palais où sa cousine Ancolie vivait. Là où Mélissandre demeurait, il y avait certes des jardins luxuriants et magnifiques, mais on ne lui laissait jamais deux secondes pour s'y rendre. Elle chassa ces pensées et demanda sans détour à Kilik, ce qui lui ressemblait bien peu comme méthode :

- Qui êtes-vous et que voulez-vous de moi?

-Qui je suis moi et bien je suis kilik, un des meilleur guerrier neutre qui existe. Chez nous les deux meilleur ces moi et un dénomé norrec que je ne connais pas beaucoup d'ailleur. Moi ce que je veut de vous? Euh bien, moi je veut votre bonheur et je veut aussi savoir ce que vous fesier sur mon territoire surtout sans permission.

Il la regarda mais regarda aussi le garde derriere lui qui était encore faché. Il trouvait sa drole car meme avec l'escorte au complet il ne pourrait rien contre lui surtout dans les bois. Son regard revint sur la princesse mais cette fois il trouva autre chose qu'une princesse. Il ne savait pas pourquoi mais il venait d'oublier son amour pour paine car il tomba amoureux de la princesse.

-Cher puis-je vous demander une question?

-A d'accord mais pour ton chef d'escorte si il continue a etre aussi poli je croit que je vais lu faire avaler la diligence au complet.

Il avait dit cela en élevant la voix pour qu'il entende ce qu'il venait de dire.

-Bon alors en attendant que votre escorte finisse d'arranger la diligence et pourquoi vous ne prendrier pas juste un cheval. Il y a moins de chance que cela arrive et de toute facon un cheval va plus vite sans diligence a moins que ce ne soit que pour vous vanter.

Il avait prit un regard quelque peut moqueur envers la princesse tous en restant poli mais il lui proposa alors:

Vener je vous accompagne jusqu'a votre rendez vous cela sera plus sur avec moi que avec eux et je connais tous les raccoursi de cette foret. Alors qu'en pensez vous cher?

Paine se rendit dans le pays des neutres pour y retrouver Kilik. Elle espérait pouvoir s'entraîner avec lui. Elle apparut sur le bord d'une forêt pouvant voir le jeune elfe parlant avec une jeune femme. En s'approchant, elle put reconnaître la princesse Mélissandre. Elle l'avait souvent vu, mais ne se rappelait pas si la jeune femme l'avait déjà vu de son côté. Elle alla les rejoindre. L’immortelle arriva au moment où Kilik lui proposait de l’accompagner.

- Bonjour, leur dit-elle en faisant un léger signe de tête, j’espère je ne dérange pas votre conversation. Si vous voulez, je pourrais vous téléporter si vous désirez vous rendre à destination plus rapidement, mais ceci n’est qu’une proposition.

Mélissandre sourit délicatement à Kilik. Il avait raison, mais ses parents ne lui pardonneraient jamais d'avoir laissé son escorte. Le prestige? Elle n'en avait que faire. Tout ce qui comptait était de plaire à ses parents et d'être un modèle aux yeux de son peuple. La jeune princesse ouvrit la bouche pour répondre, mais Paine la coupa. La jeune dauphine, peu habituée à ce qu'on l'interrompt ainsi se retourna vers l'elfe, ses yeux pâles scrutant avec curiosité la créature qui avait si peu de manières à ses yeux. Mélissandre fronça les sourcils alors que son valet l'écartait tout doucement derrière lui.

- Il ne faut jamais adresser la parole à une princesse en premier, particulièrement si celle-ci allait dire quelque chose.

Les yeux du domestique brillait de fierté de pouvoir enfin se rendre utile. Mélissandre eût l'air gênée et rougit. Elle toussota pour attirer l'attention du valet qui inclina la tête pour ensuite hocher.

- Votre Altesse désire-t-elle quelque chose?
- Euuh.. hum... Si.
- Quoi donc?
- Retournez avec les soldats, dit-ellle en plongeant son regard pénétrant dans celui du domestique.

Celui-ci ne put réprimer un moment d'égarement dans ses manières et regarda la princesse dans les yeux, perdant toute expression, comme aspirer par la douceur de ce regard puis il s'inclina sèchement.

- Bien sûr, Votre Majestée.

Mélissandre le regarda s'éloigner et se mordit la lèvre inférieur, les sourcils légèrement froncés. Elle avait presque oublié la présence des deux autres. Soudainement, comme dans un sursaut, elle retourna son visage pâle vers eux, ses boucles blondes bondissant à coeur joie dans son geste.

- Pardonnez-le. Il est un peu grincheux. À vrai dire, il l'est toujours. Du moins, de ce que j'ai pu voir. Pour vos deux propositions, je me dois de les décliner même si elles m'enchanteraient davantage que n'importe quel voyage en diligence. Mes parents seraient furieux s'ils apprenaient que j'ai abandonné mon escorte et... la magnificience qui entoura mon retour. Mon promis non plus ne serait pas très heureux même si...

Elle secoua la tête et baissa les yeux. Elle allait en dire trop. Mélissandre espéra que ni l'un ni l'autre n'avait capté ce désarroi et cette crainte qu'elle nourrissait en son sein vis à vis l'homme qu'elle était destinée à épouser. On racontait tant de vilaines choses sur son compte.

Paine regarda le valet s'approcher et ne put s'empêcher de se demander: «Oui, mais si cette personne est un immortel, est-ce que ça reste toujours le même principe?». Elle le vit ensuite s'éloigner après que la jeune femme lui ait dit de retourner avec les soldats. L'elfe fut quand même navrée d'entendre la princesse refuser son offre, elle aurait bien voulue lui rendre service.

- Eh bien, si vous déclinez, il en sera fait comme vous voulez, princesse Mélissandre, dit-elle en faisant une courte révérence. Je veux par contre à dire à son altesse que votre escorte n'est pas un problème pour moi, je pourrais les téléporter eux-aussi. Je tiens à me faire pardonner si j'ai vous ai offusquée en une quelconque manière, je n'avais pas vu que vous alliez parler. C'est la première fois qu'une chose de ce genre m'arrive, je suis sincèrement désolée.

L'immortelle la vit soudain secouer sa tête et baisser les yeux. Il devait y avoir quelque chose qui n'allait pas pour qu'elle arrête de parler ainsi, alors qu'elle parlait de son fiancé. Elle avait entendu parlé de lui. Qui n'avait pas entendu les rumeurs concernant Valdarius? Mais elle n'y avait jamais prêté attention, on ne pouvait jamais être sûr si tout cela était bel et bien fondé.

-Eh bien moi je dit que dans ton royaume cher princesse vous pouvez demanderai a ses cher serviteur qui n'on rien a faire d'autre que de réaliser tous vos moindre desire que ici on est dans les bois et sur mon territoire alors pourquoi je m'occuperais de respecter ta parole quand ici ses mes regles. Oui je vais essayer de faire attention car tu est quand meme gentille avec moi et pourquoi se préocuper des vos parent. Qu'est ce que sa change que vous voyager en meilleur securité pour une fois. Il aime mieux voir leur fille dans les main d'un escorte qui pourrait ce faire mettre a terre par moi. Alors au lieu de voyager lentement et aucunement en securiter venez avec nous lesser la diligence ici et nous vous escorterons et aucune chance de te faire attaquer car par ici tous le monde me respect.

Kilik la regarda alors dans les yeux et la regarda non avec un regard respectueux mais un regard normale toujours neutre et impitoyable comme toujours.

Mélissandre le regarda un long moment, affrontant son regard avec une ombre de crainte sans la laisser trop transparaître. Elle demeura coite, silencieuse et immobile. Son escorte, troublée par le soudain silence du groupe, tourna la tête vers eux. La princesse vit du coin de l'oeil que l'un d'eux tirait l'épée. En une fraction de seconde, la jeune fille tourna la tête vers lui et lui criait : "Non!" si sèchement que l'homme recula d'un pas. Mélissandre avait visiblement beaucoup de pouvoir et d'autorité sur les gens. Son charisme, aggrandit par sa somptueuse beauté, y était probablement pour quelque chose également! Lentement, elle tourna son visage angélique vers Kilik. Quelque chose bougea en elle et elle sentie une vague de chaleur lentement monter en elle. Mélissandre détourna les yeux.

- Sans doute, commença-t-elle d'une voix altérée par sa soudaine sérénité. Mes parents pourraient comprendre, oui. Mais vous savez, le devoir d'une princesse est de donner l'impression du prestige, d'être l'incarnation, le visage de la magnificience... C'est le pourquoi de mon escorte, dont les hommes font partis de l'élite. Cependant, cela me navre vraiment de devoir refuser...

Des bruits de sabots approchèrent. Mélissandre tourna les yeux vers la route. Ses accompagnateurs s'étaient levés et attendaient, épées au clair. Un grand étalon immaculé suivi de plusieurs autres dans les tons de brun et de noir, sortie des bois. Son cavalier avait une excellente prestance et était vêtu richement. Il s'approcha de Mélissandre et mit pied à terre. Il s'approcha des quelques pas qui le séparait de la princesse qui ne bougeait plus, semblant à peine respirer. Valdarius mit un genoux en terre et prit la délicate main blanche de la jeune fille qui paru vouloir résister un moment. Il posa un galant baiser, mais également fervent, sur sa peau. Quelque chose de malveillant tournoyait dans l'air autour de lui. Mélissandre paraissait tendue comme une corde de harpe.

- Comme il est bon de vous retrouvez, ma douce.

Il se releva. La princesse conservait un silence parfait. Il prit son visage entre ses mains et plongea son regard dans le sien.

- De quoi avez-vous si peur?
- Ce n'est point de la peur, mais bien de la surprise.
- Ne mentez pas, Mélissandre, dit-il plus sèchement qu'il n'aurait dû.
- Vous me faites mal...

Il la relâcha. Mélissandre jeta un regard à chacun pour qu'aucun ne bouge.

- Pardonnez-moi, ma mie. Le voyage a mit ma patience à rude épreuve. Surtout car je savais que votre tendre présence se ferait sentir auprès de moi.

La princesse n'en crut pas un mot, mais acquiesça lentement. Valdarius prit sa main dans la sienne. Celle de la jeune fille disparaîssait carrément dans celle de son fiancé tant elle était délicate.

- Présentez-moi ces nouveaux compagnons...
- Eh bien voici sire Kilik et...
- Enchanté.

Il tendit sa main baguée pour que l'immortel embrasse le bijou comme le voulait la tradition.

Quand le cavalier au cheval noir arriva et fit sa scene kilik ne l'appresia pas et encore pire quand melissandre dit qu'il lui fesait mal kilik se contracta encore plus et quand il tendit la main a paine pour quelle l'embrasse se fut trop pour kilik alors il tassa la main du fiancer de meli et le poussa contre l'arbre et dit:

-tu croit que tu peut arriver sur mon territoire et passer devant moi sans meme me regarder et d'inposer vos coutume de politesse et en plus de faire mal a cette belle jeune femme? Ta depasser les bornes et si tu croit que parce que vous aller devenir prince vous aller me faire reculer bien vous vous gourer. Alors vous avez deux choix mon cher soit tu t'agenous devant moi et tu dit que tu t'excuse et que tu reggrete ou bien je te vais avaler tes petites politesse a toi de voir mon cher.

Alors un garde ce précipita sur kilik en donnant un coups d'épée, kilik se pencha et lui donna un seule coup en dessous du nez et il l'assoma nette.

-Alors un autre veux aller rejoindre son amis, non ses bien sa vous avez fait un bon choix.

Puis il se retourna et dit:

-alors tu vas rejoindre se cher garde ou tu va dossilement par terre dire quelque mot?

Paine s'en voulut de ne pas s'être présenté quelques instants plus tôt.

- Pardonnez moi votre altesse, je ne me suis pas présenté tout à l'heure. Je m'appelle Paine, je crois que vous n'avez pas besoin d'en savoir plus sur moi. Si c'est le cas, je vous le dirai, si ça ne vous dérange pas bien sûr, plus tard. Dit-elle avant de s'approcher un peu avec dédain de la bague du fiancé de Mélissandre.

Mais avant même qu'elle ne puisse faire quoique se soit, l'immortelle vit Kilik s'emporter et plaquer Valdarius directement dans un arbre. Paine trouvait qu'il en faisait trop. Même si ce n'était pas dans ses futurs territoires, il pouvait quand même appliquer cette tradition sur une personne qui se trouvait à venir des même terres que lui. Elle se dirigea lentement vers l'endroit où les deux hommes étaient maintenant rendus. Paine vit Kilik frapper un garde directement en-dessous du nez.

*N'aurait-il pas pu trouver un autre moyen pour le neutraliser? Il y va un peu fort quand même...*

Elle se pencha au-dessus de l'homme qui était étendu au sol. Elle voulait s'assurer qu'il était toujours en vie. Il respirait, très faiblement, mais au moins, il respirait, c'était tout ce qui comptait pour elle.

Mélissandre fut prise par surprise quand il réagit avec autant de brutalité. Son coeur se serra à la vue de cette violence. Elle s'approcha lentement et posa doucement sa main sur l'épaule de Kilik. Elle le repoussa doucement, alliant son geste à un regard doux et triste. Son regard s'obscurcie un peu en retournant sur Valdarius qui souriait d'un air presque niait. Mélissandre le tira doucement par le bras.

- Non! dit-il soudainement. Restez en dehors de cela très chère. J'ai ouïe-dire que vous n'aimiez pas la violence et voyez comme les autres hommes en usent. Voudriez-vous d'un autre?

Mélissandre demeura silencieuse, les yeux au sol. Des larmes humidifiaient son regard. Il prit son menton entre ses doigts.

- Regardez-moi quand je vous parle et répondez.
- Je... Je l'ignore.
- Vous l'ignorez? Auriez-vous perdue la tête!? N'êtez-vous pas mienne?
- Oui, bien sûr. Mais je...
- Mais vous quoi?

Il se redressa de toute sa taille. Il semblait écraser la forme délicate et menue de la princesse qui fit un pas à l'arrière. Elle sentie sa gorge se serrer et un frisson nerveux passa sur sa nuque.

- Non, rien, sire.

Valdarius serra les poings et se retourna vers son escorte.

- Nous repartons. Sa Majesté Mélissandre semble être exténuée.

La jeune fille ne répondit rien, sentant que cela serait inutile. Elle s'approcha rapidement de Kilik et prit ses bras, murmurant tout bas pour que personne autre que lui n'entende :

- Je vous en conjure, laisse-le tranquille. Il est mon fiancé et je ne peux me permettre de le perdre. Sinon...

Ses yeux clairs et doux cherchèrent quelque chose dans le sien, mais elle dut abandonner quand Valdarius la tira par le coude. Mélissandre recula, continuant sa recherche. Son fiancé la retourna alors. Il posa un baiser sauvage sur ses lèvres et lui souffla :

- Tu es mienne...

Il n'y avait que dans l'intimité qu'il se permettait la familiarité de la tutoyer et qu'il le fasse à ce moment, surtout après l'avoir ainsi embrassé devant tous, la surpris totalement. Prise au dépourvue, elle se retrouva assise sur un étalon blanc tandis que son fiancé montait sur un autre cheval.

-Pour qui vous vous prenez pour l'obliger a faire ce que vous voulez. Elle vous aime et vous vous la considéré comme si elle vous appartien. Mon cher vous avez beaucoup a apprendre sur le femme. Revenez ici et regarder moi quand je vous parle.

L'homme sur le cheval ne bougea pas donc kilik le pris par la taille et le fit tomber du cheval et le prit par le collet et le fit revoller sur l'arbre et il se rendi pres de l'arbre et l'observa. L'homme saignait de la bouche et du fronc.

-voila regarde toi maintenant. Ta l'air intelligent maintenant en?. Bien ta juste a la traité comme une femme et non comme un objet. J'ai lu son coeur et elle ne vous aime pas elle reste avec vous parce qu'Melle ne veut pas decevoir ses parents. Alors au moins considerer la comme une femme et respecter la parce que sinon vous aller me retrouver sur votre chemin et cette vous vous ne vous en sortirer pas vivant.

Il lui botta alors le visage et se tourna alors vers melissandre et dit:

-Desoler de cette violence je ne permetterer jamais a un homme de maltraiter une femme de votre qualité cher. Vous meriter mieux que cette crapule alors le prochain essayer de mieux le choisir! Alors on part ou on continue a parler parce que jamais je ne vous laisserer parcourir les foret avec ses incompetant.

-Princesse laisser moi au moins la chance de vous accompagner jusqu'a vos parent car ici vous ne serez pas en securiter surtous avec votre escorte completement innéficasse car la plus part des personne ici meme les enfant de 10 pourrait les metriser alors si vous permetter j'assurer personnellement votre securiter et en meme temps peut etre réussirais-je a augmenter le niveau de combat de ses incompetant. alors si vous voulez bien de ma presence sur votre magnifique cheval je me ferait un royale plaisir de vous accompagner jusqu'a vos parent.

Il marcha donc jusqu'a elle et siffla un coup et un magnifique étalon noir comme la nuit arriva et il arreta a coté de kilik alors il monta dessus et prit la main de la belle melissandre et dit:

-Accepter mon offre cela ne sera que profitable pour vous et votre escorte.

Mélissandre sentie quelque chose remonter de sa main jusque dans son bras quand il prit sa main. La jeune princesse ferma les yeux et réfléchis un moment. Elle acquiesça ensuite et fit le transfers de monture sans difficulté excepté le moment où elle failli tomber. Elle s'accrocha à l'immortel et ne chuta pas. Assise devant lui en amazone, elle tourna son visage angélique vers lui, ses yeux exprimant cette même chose si compliquée à saisir.

- J'accepte avec plaisir que vous m'accompagniez jusqu'au palais de mes parents.

Elle jeta un bref coup d'oeil à Valdarius qui lui jetait un regard noir comme l'encre. Il était en colère et se releva avec difficulté. Son fiancé essuya rageusement le sang sur son visage. Il avait un air sauvage et violent ainsi qui effraya la jeune fille. Elle serra doucement le bras de l'immortel dans sa main, mais ne réagit pas outre mesure. Valdarius cracha alors avec une haine plus qu'évidente :

- Vous m'avez été promise, Mélissandre. Que vous m'aimiez ou non m'importe peu, mais votre manière d'agir est peu recommandable! Quand vos parents apprendront tout ceci de votre bouche et de celle d'un autre, vous devrez affronter les conséquences. Quelles femmes de vertu accepteraient l'offre d'accompagnement d'un inconnu? À moins que vous ne soyiez amoureuse!

Valdarius partie d'un rire tonitruant, aussi fort que ses côtes et ses contusions lui permettaient. Il tomba à genoux, en proie à une grande douleur. Mélissandre tourna de nouveau son visage vers Kilik.

- Ne vous en préoccupez pas. Il a eu sa leçon. Il est arrogant de nature et ne cessera qu'une fois mort ou une fois que nous serons loin. Il est blessé dans son orgueuil, c'est pour cela. Partons maintenant. Je vous en prie...

Mélissandre le suppliait du regard, serrant l'une de ses mains dans la sienne sans même s'en rendre compte.

-D'accord mais puisque je ne connais pas la route vous devrez me guider et je ne préocupe aucunement de votre cher disont maintenant enemie et si j'était vous meme si vous lui ete promise je le laisserait tomber car peut importe son importance vous meriter du respect et non des menace. J'ai peut etre été violent je n'ai peut etre aucune maniere mais au moins je vous traite comme une personne et non comme une chose donc ceci est la preuve qu'il y a des homme mieux que ce ventare et bouffons.

Puis il senti enfin qu'elle serrait sa main et que elle ne l'avait pas laché et sans le faire exipres son coeur accelera mais il ne le fit aucunement paraitre.

-Alors cher partons nous ou vous continuer a me regarder en me serrant la main?

Mélissandre fut frappée, comme par une gifle. Elle retira rapidement sa main en rougissant avec violence. Sa timidité reprit le dessus sur tout. Elle marmonna et bégaya avant de déclarer d'une petite voix incertaine :

- Je suis navrée, je ne m'étais pas rendue compte que je... enfin.. Vous...

Elle se mordit la lèvre inférieur. Se sentir aussi impuissante ne lui plaisait pas, surtout quand cela jouait sur son point le plus faible : la timidité. Valdarius les observa avec des poignards dans les yeux. Il était dans une colère noire, mais n'en laissait plus rien paraître. L'embarras de Mélissandre cachait bien plus qu'une gêne habituelle et il avait l'impression qu'elle ressemblait à l'une de ces perronelles qui rougissent d'un seul regard d'homme. Elle était aussi sotte! La jeune princesse, quant à elle, avait pousser le cheval au trot pour atténuer son trouble et camouffler son malaise, espérant qu'il ne voudrait pas qu'elle termine sa phrase dont elle ne savait pas formuler la fin. En réalité, elle ne le voulait pas pour tout l'or du monde. Mélissandre était trop axée sur le pratique pour songer à des choses aussi libertine et simple d''esprit. En deux minutes, ils rattrapèrent le reste de l'escorte qui était partie devant. Un soldat ralenti pour être à leur niveau.

- Nous avons envoyer deux éclaireurs à l'avant. Trois soldats se posteront derrière vous. Ainsi vous serez proteéger au maximum. Avec les talents de monsieur, je crois que vous ne devriez avoir aucune crainte par rapport à votre sécurité, Votre Majesté.
- Merci bien.

Elle inclina la tête grâcieusement pendant ses remerciements. Le soldat s'éloigna et comme dit, trois hommes vinrent se poster à l'arrière pour plus de sécurité. Mélissandre se retourna et scruta lentement le visage de Kilik.

- Je suis encore navrée pour tout à l'heure.

-Aucun probleme ma cher mais faite revenir vos deux éclaireur et dite leur de rester derriere nous car il y a souvent des embuscade donc j'aurait le temps de le voir et de leur dire d'arreter. De toute facon que voulez vous faire avec juste 3 garde derriere nous sa serait les mettre a mort. Laisser moi diriger l'escorte car je connais les bois comme ma poche alors je peut vous faire sortir d'ici en moins de deux mais ses lorsque nous serons sorties que je ne sais point ou aller et regarder la marque sur l'arbre la. Ceci veut dire que si on continue nous tomberon dans une embusquade prevu il mettre ses signe la pour que les neutre evite l'embusquade.

Kilik se leva sur son étalon et dit:

-Nous tournons a droite ici a part si quelqu'un desir mourir ou etre prisonnier.

Il se rassis et prit la princesse par la taille pour ne pas tomber de son étalon car il venait de tourner.