Retour à Eastall

Admin Nombre de messages : 56 Age : 33 Date d'inscription : 17/05/2007

Mélissandre se retourna vers les soldats et fit rappeler les éclaireurs. L'un des hommes partie au galop pour les rattraper. La princesse tourna ensuite son regard vers lui, mais ne put que le croiser furtivement, car le virage la chahuta d'un côté. Elle sentie les mains de l'immortel sur sa taille. Le contact l'électrisa entièrement. Elle dut se mordre la langue pour s'apaiser un tant soit peu. Mélissandre concentra alors toute son attention sur le chemin, anticipant les virages plus rudes en serrant la bride plus solidement et en serrant les jambes pour se retenir. Une heure de cheval s'écoula. Entre-temps, ils avaient rattrapé les éclaireurs et l'escorte formait désormais un cercle protecteur autour de la monture qui portait la princesse. La jeune Mélissandre se retourna vers Kilik pour la première fois depuis un long moment. Ses yeux clairs semblaient las. L'un des hommes capta sa fatigue et fit ralentir la troupe en levant un bras.

- Sa Majesté est-elle fatiguée?
- Oui, un peu. Je propose une petite halte.

Les hommes acquiescèrent entre eux et ils se laissèrent tomber de selle pour s'affaler dans l'herbe, laissant paître les bêtes. Ils sortirent quelques aliments de leur sacoche ainsi que des gourdes. Mélissandre mit pied à terre et s'éloigna immédiatement, lentement vers un petit ruisseau d'eau cristalline qu'on entendait sans voir. Elle s'agenouilla et aspergea son visage du liquide rafraîchissant.

Kilik qui observait le paysage pour eviter les petite attaque surprise, vit que le groupe fesait une pose et que la belle melissandre allait plus loin, vers la riviere alors le valeureux kilik alla la rejoindre et alla a coté d'elle.

-Tu compte faire duré ta petite alte combien de temps?

Kilik savait tres bien que ici était le pire endroit de la foret car ses ici que le bandit trainait le plus souvent.Alors Kilik ne voulait pas que la jolie princesse traine trop par ici alors il rajouta:

-Je te donne deux minute apres plus aucune alte avant d'etre sortie de la foret.

Puis kilik la regarda quelque peu mais il fu vite interrompu par un bruit un peu plus loin alors il alla voir un un gars avec une épée sortie et fonsa sur lui. Il nu pas le temps de sortir son baton alors il esquiva le coups et donna un coup de poing dans la figure du gars mais il ne fut que sonné alors il prit son épée en lui cassant le bras et lui trancha la tete.

Il prit melissandre par le bras et courra vers l'escorte et cria:

-Tous le monde me suis et pas question de rouspéter.

Il grimpa sur le cheval et prit melissandre et la mi derriere lui et lanca son brave étalon au galot. L'escorte essaya de le suivre mais leur chevaux n'était pas si rapide. plus loin il ralenti mais garda une bonne vitesse et l'escorte le rattrapa. Il sortir de la foret quelque heure plus tard sans vraiment d'ennuie.

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Mélissandre acquiesça à l'ordre de Kilik, de toute manière, elle ne comptait pas faire une très longue halte quand elle l'avait déclaré. La princesse continua de se rafraîchir paisiblement en chantonnant tout bas. L'immortel s'en fut un moment, mais elle ne s'inquiéta pas, croyant qu'il ne faisait qu'un petit tour de surveillance. Quand elle entendit l'autre courir, elle se retourna et le vit foncer sur Kilik. Mélissandre échappa à peine un couinement de stupeur avant que sa gorge ne se serra autour de son cri. L'immortel esquiva et balança son poing dans le visage de l'autre qui vacilla dangereusement. Kilik en profita alors pour lui arracher son épée et lui trancher la gorge. La jeune fille pâlit et passa près de s'évanouir. L'homme la saisit par le bras dans son élan. Mélissandre eût à peine le temps de se relever que déjà, ils s'enfonçaient à toute allure dans les bois. Il la hissa sur le cheval derrière lui et ils partirent tous au galop, ceux qui mangeaient abandonnant nourriture et boisson. La belle jeune fille s'aggrippa à Kilik de toutes ses forces pour ne pas être projetée au sol. Bientôt, ils perdirent de vue les autres membres de l'escorte. Quand enfin ils sortirent de la forêt, ils ralentirent et les autres purent les rejoindre. Mélissandre tremblait doucement derrière Kilik ; autant de peur que de manque d'énergie. Elle tapota doucement l'épaule du cavalier et lui demanda de s'arrêter. La princesse descendit au bas du cheval quand ils trouvèrent un endroit sécuritaire. Elle se dirigea vers les buissons où elle fut malade : son coeur sensible n'avait pas apprécié le spectacle sanglant de la mort du brigand qui les avait attaqué et le fait d'avoir été ainsi trimbalée n'aidait pas. Quand elle revint vers eux, après s'être rincée la bouche avec l'eau du petit ruisseau d'eau claire qui passait tout près, elle poussa Kilik un peu à l'écart du reste du groupe et s'assit sur le sol, ne parlant pas. Mélissandre le regardait cependant avec une intensité étrange, comme si elle essayait de percer le secret qui l'entourait.

- Il me semble... que vous me cachez des choses. Sans doute est-ce parce que je vous connais si peu.

Kilik fit une legere pose avec melissandre et celle-ci l'entraina a part pour lui dire que il lui cachait quelque chose.

-Moi vous cacher quelque chose sa se pourrait mais pourquoi vous me dite sa ais-je fait quelque chose pour que vous pensier que je vous cache quelque chose?

Il s'assis alors a coté d'elle et la regarda. Elle avait le visage d'un ange et le coeur aussi sensible. Elle était éduquer et avait des bonnes manieres mais ne connaissait rien en combat. Pourquoi avait tel réagis ainsi? Peut etre n'avait telle jamais été attaquer par des bandit. Une vrai bataille est beaucoup plus violent que ceci. Ceci n'était que un petit bandit qui l'avait attquer rien de grave. Bon elle s'y ferait surement asser vite car elle n'avait que 16 ans en réalité alors elle n'aimait peut etre pas la guerre mais elle devra l'endurer car elle la vivra un jour ou l'autre.

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Mélissandre lui retourna son regard puis détourna son visage du sien pour regarder au loin sans trouver de point précis auquel s'accrocher. Avait-il agis d'une manière qui laissait sous-entendre qu'il cachait quelque chose? Non, et pourtant...

- En fait, je suis habituée à ce que l'on me dise tout. Je suis de sang royale après tout. Cependant, je dois avouer que vous n'avez agis d'aucune façon qui aurait pu laisser entrevoir que vous cachiez quelque chose. Non, bien au contraire, c'est dans votre regard que j'ai trouvé le mystère. Quelle en est la clé? Je l'ignore encore, mais sans doute pourrez-vous m'éclairer sur le sujet.

La princesse sourit d'un de ses sourires désarmant et paisible tout en retournant son doux visage vers lui, abandonnant la chasse au point de mire autre que l'agréable visage de Kilik. Une brise joua dans les boucles blondes de la jeune fille qui souriait toujours d'un air serein en attendant la réponse de son compagnon. Soudainement son esxpression changea, mais une seule fraction de seconde ne s'écoula entre ce moment et celui auquel elle s'affalait sur le corps de Kilik. Elle poussa un gémissement de douleur et ses yeux s'arrondirent. Une main empoigna sa chevelure et remonta sa tête. Une lame se posa délicatement sur sa gorge.

- Dites-moi, Votre Majesté, aimez-vous... le sang?

Les derniers mots, murmurés, avaient été prononcé avec un plaisir insencé. L'homme lécha le cou de la princesse qui lui envoya un coude dans le ventre. Elle reconnut alors un des soldats de son escorte. Il lui envoya une dague qui tourna sur elle-même jusqu'à s'enfoncer jusqu'à la garde dans son ventre. La princesse, blessée au dos d'un coup, au ventre et légèrement entaillée à la gorge, s'effondra sur le sol comme une poupée de chiffon. L'aggresseur s'approcha alors de Kilik avec un sourire mauvais.

Kilik habituer au surprice ne s'y attendait guere mais deque qu'il vit le soldat il sortie son baton et quand il le regarda enfin le garde vit soudain une haine si terrible qu'il en perdit son sourir. La haine était si immence que le garde eu un court instent peur mais il se reprit. Kilik avait eu une vie pas facile et sa haine s'était accumulé mais la elle sortie et il souffla entre ses dent:

-Cher si vous n'aimer pas la violence fermer les yeux.

Puis kilik se leva et le garde lui donna un coup de dague mais Kilik le bloqua avec une main. Ceci lessa une coupure mais il ne s'en préoccupa point. Sa douleur était aténuer grace a la colere. Il sauta et fit une vrille pour donner 5 coup de baton au meme endroit a la tempe mais le garde fut juste sonné. Quand kilik attéri il se retourna et croisa les yeux du garde et comprit se qu'il voulait faire et cela augmenta encore plus sa colere. Il fit tourner son baton et tombe au minimum 50 coup en dessous de la gorge. Le garde perdit connaissance mais kilik continua de frapper et le tua mais rangea son baton mais sa colere était toujours la et il ne fesait plus comfiance a l'escorte alors il les tua tous. Il retourna voir meli et prit une potion qui la libéra de la douleur mais la blessure était toujours presente. Il l'amena sur le cheval d'un des garde et mit les chevaux au galot vers la cité.

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Mélissandre, inconsciente, se réveilla seulement une fois le cheval pousser au galop par Kilik. Elle eût le temps de voir son escorte. Doucement, elle s'efforça de retrouver la mémoire malgré la panique que l'horreur du spectacle lui inspirait. Elle pensa au soldat qui avait tenté de tuer l'immortel, puis elle se rappela que tous les autres étaient innocents. Elle freina l'élan de sa monture et descendit au sol pour s'appuyer à un arbre. Elle glissa lentement ses doigts dans ses cheveux d'or, suivant parfois une boucle du bout du doigt. Mélissandre se retourna vers Kilik, les larmes aux yeux et la colère moins que la détresse perçant dans sa voix quand elle déclara en tremblant :

- Vous êtes complètement cinglé! Vous tuez aveuglément. Un ver dans une pomme ne veut pas dire qu'il faut couper l'arbre! Vous n'avez donc pas de coeur?! Et dire que j'ai failli vous donner le mien!

Ce dernier aveu, elle le regretta, mais n'en laissa rien paraître tandis qu'elle s'enfuyait dans les bois, voulant fuir au plus vite loin de Kilik, surtout embarassée par son aveu involontaire. Allait-il la poursuivre? Mélissandre n,en savait rien. La belle jeune fille faisant de son mieux pour courir dans les bois malgré les branches qui s'aggrippaient à ses vêtements et les racines qui menaçaient de la faire trébucher à chaque instant. Ce faisant, la princesse sanglotait, déçue de celui qu'elle avait cru différent de tous ces hommes qui guerroies sans plus. Comment avait-elle osé imaginer qu'il puisse témoigner de tendresse envers elle?

Quand la colere de kilik s'aténua il se rendi compte de ce qu'il venait de faire et le regretta mais ce qui était, était fait.Il revit la scene dans sa tete et se versa une larme pour ses homme ce qu'il fesait a chaque fois qu'il tuait quelqu'un mais cette fois il en versa deux pour chaque innocent. Il rattrapa alors meli et lui dit:

-De la tendresse envers vous?? Oui j'en ai mais si vous aviez eu la meme vie que la mienne. Toujours vivre dans la souffrance de vos amis, toujours voir ceux que vous aimer ce faire tuer, toujours etre obliger de tuer les autres pour rester envie et bien vous aussi vous auriez agis ainsi. Autant de colere accumuler es obliger de sortir un jour. Oui j'ai tué des innocent et je le reggrete. Mais réflichisser un peu pourquoi ma colere a monter? Pourquoi je ne vous aurait sauver si je ne tennais pas a vous? Pourquoi quand ce garde vous a attaquer je me suis facher? Peut etre juste parce que il n'est pas beau? Non ces parce que je tient a vous. J'ai été trop loin mais je ne me controlait plus. Il falait que ma colere sorte un jour et malheureusement ce fut devant vous. Mais réfléchisser bien ma cher, je ne suis pas un homme parfait. Je suis un homme neutre et j'ai toujours agis pour rester en vie alors certaine chose arrive sans que je puisse les controler mais jamais je ne tue par plaisir. A chaque fois que je tue quelqu'un je verse une larme le soir et quand ces des innocent ses deux par personne. Ceci pour moi fait valoir que jamais je ne veut leur faire de mal mais que je suis obliger mais je fait des erreurs mais quand vous avez vecu comme moi il peuvent souvent etre grosse. Réflichisser a sa cher et apres vener me dire que je n'ai aucune tendresse et que je suis comme tous le monde.

Puis il reparti vers les chevaux et fit un feu et fit griller du poisson pour le repas et sortie ses couverture pour plus tard. Puis repenssa a meli qui devait etre choquer mais il esperait qu'ell comprenne que jamais si elle l'aimait il sera comme les beau prince qu'elle cotoyait a chaque jours.

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Mélissandre ne fut que très peu surprise quand il la rattrappa. Elle écouta attentivement ce qu'il avait à dire, avec sa concentration d'élève modèle. Elle se mit à trembler à certain moment. Ces hommes avaient des familles, des amis, une vie! Et lui venait de les priver et de priver leurs proches de leur présence mutuelle. La princesse ne posa pas un seul regard sur lui et attendit qu'il parte sans dire un seul mot. Quand il fut loin, elle se sentie soudainement vide de toute vie, comme si on venait d'aspirer tout ce qu'elle pouvait ressentir dans un maelström. Mélissandre passa quelques instants, sans compter le temps, à fixer un point. Quand elle s'extirpa de sa torpeur, Kilik faisait cuire de la nourriture et avait étendu la couverture. Seulement à ce moment-là, elle se mit à pleurer à renfort d'énormes sanglots qui la secouaient violemment. Elle avait cru qu'il était celui pour qui elle soupirait nuit après nuit, jour après jour, mais il venait de faire la preuve du contraire. Mélissandre dut se résigner : la princesse de la vertu ne pouvait aimer qu'un prince de la vertu. La neutralité ne pouvait s'accorder avec elle, si douce, si tendre et si juste dans sa générosité. Mélissandre se leva, des larmes coulant toujours sur ses joues de satin et se dirigea vers le campement.

Un fois rendu à cet endroit, où l'immortel les avait établie, Mélissandre s'approcha d'une des montures et la sella. Elle prit la bride et l'entraîna plus près de Kilik. Elle s'arrêta, silencieuse et immobile, comme ses représentations des madonnes paisibles et pures. La princesse n'avait cependant rien de paisible. Ses yeux écoulaient encore des larmes et ses joues étaient rougis par le vent sur l'eau saline qui y coulait. Un long moment, elle le fixa sans aucune expression puis ses sourcils se froncèrent et elle baissa les yeux alors qu'un sanglot déchirant la secouait. Elle s'approcha et se pencha. Sa bouche passa près de se poser sur la sienne, mais elle recula vivament et sauta sur la selle avant de partie au triple galop dans la nuit. Un peu plus loin, quand elle ne fut plus qu'une ombre éphémère, elle lança à l'immortel :

- Je vous aime, oui. Mais jamais rien n'ira entre vous et moi...

L'écho d'un sanglot légèrement étouffer par l'humidité de la nuit parvint à l'immortel avant que Mélissandre tourne bride et s'enfuit plus rapidement que le vent.

Kilik qui connaissait toute la foret comme sa poche fesait comfiance a melissandre pour le guider mais la il se sentait un peu perdu alors il fit ce qu'il fesait toujours lorsqu'il était perdu il lanca son cheval au plus vite dans la direction de meli et en quelque heure il la rattrapa mais comme si il l'avait oublier il la doubla sans meme lui faire attention apres elle l'avait rejeter comme on jete une un dechet. Il decida alors que sa vie de neutre allait s'aténuer et vit au loin un chateau alors il dit:

-Voila ce que je cherchait, voici le chateau du pere de la belle melissandre.

Dit-il juste asser fort pour qu'elle entende puis lança glaer au grand galot tellement rapidement que melissandre ne le rattrapa pas et arriva deux heure apres au chateau et entra un garde arriva et lui dit:

-mon cher vous voulez quelque chose car vous n'avez pas le droit de voir le roi car il est occuper en ce moment.

-Je vous felicite mon cher et je me fou qu'il soit occuper j'ai besoin de lui parler.

Le garde le prit par l'épaule et lui dit:

-J'ai recu l'ordre de ne laisser personne entrer et a ce que je sache vous ete une personne.

-Oui mais pas celle que vous voudriez que je soit.

Puis poussa le garde par terre et alla directement voir le garde en demandant a tous ceux qui passait ou il était et il fini par le trouver et entra en tombe.