Le château

Mélissandre arriva au crépuscule du second jour de son voyage. Il y avait presque 24 heures qu'elle avait laissé l'immortel dans la forêt, et le reste de son périple s'était déroulé sans mal, mis à part l'énorme fatigue dont elle avait été victime et la faim qui grondait dans son ventre. Quand elle entra par le pont-levis, tous se précipitèrent pour acceuillir cette princesse qui leur avait manqué depuis si longtemps. Le roi et la reine entrèrent en trombe, heureux du retour de leur fille. Quand le souverain la vit, épuisée, ses vêtements déchirés par endroit, sales et surtout, sans escorte, il craint le pire.

- Ma pauvre enfant! Vous a-t-on fait du mal?

Mélissandre tourna son doux visage troublé par le chagrin vers son père. Des larmes se mirent à couler de nouveau alors que le visage de Kilik s'imposait dans son esprit. La jeune fille répondit dans un souffle, prenant toutes ses forces pour cette réponse :

- Oui.

La princesse s'évanouit ensuite. Son père la rattrappa maladrotiement et fut aussitôt aider par plusieurs personnes qui entrèrent dans le palais, portant l'héritière comme le plus fragile des bagages. On l'allongea dans sa chambre où trois servantes firent sa toilette et la soignèrent. Elles lui mirent une robe de satin blanc et brossèrent ses cheveux après les avoir laver. Elles parfumèrent la princesse de cette douce effluve de fleurs qu'elle aimait tant puis baignèrent son visage d'eau froide. Quand Mélissandre ouvrit les yeux, elle réclama à manger, mais s'évanouit de nouveau avant que le plateau n'arrive. Une heure plus tard, elle put enfin manger. Elle dévora tout le repas avec avidité et en redemanda encore. Les servantes furent surprises. Cette enfant mangeait habituellement comme un moineau! Elles en vinrent à la conclusion qu'elle devait avoir passer beaucoup de temps sans manger. Après son deuxième repas, la princesse demeura immobile et impassible, étendue sur ses oreillers sous les couvertures chaudes et douces. Son esprit vagabondait, à la recherche de Kilik.

Kilik qui venait d'entrer dans la salle du roi ne savait pas que melissandre était arriver alors il parla au roi mais vu qu'il avait vecu dans la foret toute sa vie il n'a jamais vraiment eu de politesse alors il dit sans aucune revérence:

-Je veux voir melissandre car... non oublier ma derniere phrase je veut voir melissandre dit moi ou elle est.

Kilik voulait la revoir car jamais il ne laisserait une belle princesse qui n'était aucunement comme les autre filer entre les doigt surtous que c'était la seule apres paine qui lui portait vraiment de l'attention alors jamais il ne voudrait la perdre et il ne voulait pas attendre qu'elle repasse par la foret alors il attendi la reponse du roi.

Il laissa son esprit partir en attendant la reponse du roi. Il essaya de la reperer mais ne voulait pas attendre trop longtemps. Il se rappelait les doux moment passer avec meli meme si il avait été court il les appressiait grandement.

Le roi se leva et croisa les bras. Il ne se formalisa pas du manque de courtoisie de son invitié et lui dit tout simplement et sans animosité :

- Révisez vos manières.

Il descendit ensuite les trois marches qui les séparaient et s'approcha de lui. Il le scruta minutieusement et remonta les marches pour s'asseoir sur son trône avec un soupir de soulagement. Il prit un certain temps avant de répondre :

- La princesse Mélissandre est souffrante. Son voyage a, semble-t-il, été éprouvant. Je crains qu'il ne soit arriver quelque chose à son fiancé qui l'ait bouleversé puisqu'il n'est pas revenu et qu'elle pleurait aux dernières nouvelles. Puis, les servantes m'ont dit qu'elle demeurait silencieuse et immobile depuis des heures. Quand elle ira mieux, je vous accorderai de la voir. Je peux cependant vous offrir mon hospitalité jusqu'à ce que vous puissiez la voir.

Le roi soupira. Les portes s'ouvrirent alors derrière Kilik. La princesse, vêtue de blanc et parfaitement soignée se tenait sur le pas de la porte. Elle fixa l'immortel un moment. Et avant qu'il ne puisse faire un geste, elle s'enfuit dans les corridors en sanglotant. Elle se dirigeait vers sa chambre trois étages plus haut.

-A desoler ses une longue histoire peut etre la connaitrerai vous un jour et je serai heureux de rester quelque temps et ne vous occuper pas de mon cheval il est libre mais ne fait rien de mal ne l'enfermer pas cela le fache encore plus et merci de cette courte discussion si vous avez autre chose a me dire tu n'as cas me trouver ses tous simple.

Puis se retourna et marcha vers la sortie doucement avec une demarche tres décontracter et aucunement stresser. Il voyait le roi pour la premiere fois et le trouvait deja trop mou. Il faut avoir un caractere solide pour diriger un armée. Kilik en savait large sur ce sujet car ces ce qu'il fesait tous les jours car on es jamais a l'abris de mortaz. Juste d'y penser le coeur lui levait.

Il arriva a la porte et stopa un moment mais reprit sa marche vers le troisieme étage pour aller retrouver meli. Il ne savait pas ou il allait mais il laissait son coeur le guider et il trouva l'escalier et le monta doucement.

Kilik continua de monter les marche en repensant au visage que melissandre avait fait et il trouva dommage de briser ces sentiment pour elle mais si elle l'aimais vraiment elle ne se serait pas enfuit elle lui aurait surement sauter dans les bras.

Quand il arriva devant la porte il prit la pognée et ouvrit la porte doucement et entra doucement mais ne fit aucun bruit et alla s'assoir sur le lit et regarda melissandre qui regardait dehors. Elle pleurait mais kilik ne savait pas pourquoi il attendit qu'elle le remarque mais cela prendrait peut etre un peu de temps parce qu'elle lui tournait le dos.

Il repensait soudainement au moment passer en sa compagnie et revit le garde qui attaquait la princesse mais bizzarement ce n'est pas la colere qui monta en lui mais de la tristesse car a cause de cela la princesse ne voudra peut etre plus parler a kilik et il trouvait sa vraiment dommage car lui il appreciait sa compagnie et commencais meme a trouver ces bonne maniere drole lui qui n'a jamais rie de sa vie il versa quelque larme avec un sourire. Jamais il n'avait ressenti d'émotion sauf la colere et il venait d'en ressentir deux en meme temps.

-Je n'aie pas tuer sans remord et jamais je ne le ferai et si je suis ici ces peut etre parce que je vous aime moi aussi sinon pourquoi serais-je venu ici. La seule chose que je veut ses que vous ne vous enfuyer pas lorsque vous me voyer. J'ai seulement suivit mon instint moi. Je sais que je n'ai pas bien agis et je le regrette amerement. Si vous n'aimer pas mon comportement changé le ses tous simple. Je ne demande qu'une chose etre au pres de vous et vous rendre heureuse peu importe ou, le moment, le temps, ou comment. Je veut seulement que vous me gardier et m'enseigner comment agir aupres de vous car jamais de ma vie je n'aie rencontrer une princesse comme vous. Les personne que j'ai connu agissait comme moi j'ai été élever comme sa. Comment je pouvais savoir que vous n'aimeriez pas sa moi?

Il resta assis a la regarder. Dans son regard il y avait la haine mais aussi de la tendresse et du remord pour la premiere fois. Comment pouvait elle réussir a le faire se sentir coupable personne ne le savait mais elle avait réussis. Il esperait qu'elle le prenne sous son aile mais surement qu'elle refuserait mais jamais ne la quitterait.

Si elle ne vouderait pas de lui il irait voir son pere et demanderait de pouvoir rester plus longtemps car il ne voulait pas la laisser seule car avec la garde que son pere lui a donner cela montre que il avait grand besoin d'aide. Il expliquerait surement au roi ce qui s'était passer mais pour l'instant il attendait la reponce de melissandre.

Mélissandre fut frappée lorsqu'il lui dit qu'il l'aimait. Le reste de son discour, elle ne l'entendit pas. Ou plutôt, elle l'entendit, mais n'analysa pas les mots et les phrases. Elle le fixait, comme médusée, puis elle se leva lentement. Elle s'approcha du lit et s'enligna droit sur lui. Elle se laissa retomber sur lui. Étendue sur son corps, son regard plongeant dans le sien, elle caressa tendrement son visage.

- Oh, Kilik, souffla-t-elle.

La princesse ferma les yeux et l'embrassa avec légèreté. Elle glissa ses doigts dans ses cheveux et mit fin rapidement au baiser. Mélissandre sourit doucement.

- Je vous aime.

Elle posa un baiser sur son front avec une ferveur toute délicate. Puis elle se releva et marcha jusqu'à la fenêtre. Elle s'arrêta devant et regarda à l'extérieur, en silence, l'ombre fugace d'un sourire sur ses lèvres. Elle rêvassait, les joues rosies par la timidité.

Kilik accepta volontier ce doux baiser mais lorsqu'elle retourna a la fenetre il dit:

-Je vous aime aussi mais je me demande comment votre pere va réagir lorsqu'il va l'apprendre car a ce que je sache il pense que tu es boulverser par l'homme que vous étier supposer epouser. Que fesont nous pour cela car ceci est un detail asser important je trouve.

Il la regarda avec encore plus de tendresse et du resister de toute ces force pour ne pas ce lever et l'embrasser car il devait parler pour l'instant car il y avait un asser gros probleme. Il fallait le regler et son pere sera asser choquer d'entendre tous le voyage en detail car pour la princesse ce fut asser éprouvant autant physiquement que phychologiquement alors il la laissa réfléchir.

-Il faudrait peut etre faire quelque chose car je ne supporterai pas de te voir dans les bras d'un autre homme et tu sais que je suis malheureusement impulsif alors il faudrait regler le probleme rapidement.

Il observa son doux visage angélique et ne pouvait croire qu'un homme puissent la maltraiter. Jamais il ne toucherait a melissandre. Jamais il ne voudrait blesser une si belle créature. Jamais!

-Oui tu as raison mais si jamais vladarius revenait il dirai tout a ton pere et ton pere je ne sait pas ce qu'il fera mais il va faire quelque chose et je pense que se sera contre moi. J'espere juste que ton pere ne donnera pas ta main a quelqu'un d'autre car je ne le supporterait pas. Je t'aime meli et jamais je ne s'èserai de t'aimer. Je te promet de ne jamais te faire de mal et de te proteger au perile de ma vie.

Il prit son doux visage et déposa un doux baiser sur ses levres et lui souffla a l'oreille:

-Je t'aime ma belle.

Puis il l'embrassa avec passion.

Mélissandre se laissa porter par la passion de son bien-aimé. Elle caressa son dos tendrement en se blottissant contre lui. Puis, doucement elle le repoussa en secouant la tête.

- Il ne faut pas nous emporter. La patience fait partie des vertus que j'aime... Justement parce que c'est une vertu et, par conséquent, nous éloigne du vice.

Elle caressa son visage tendrement et sourit avant de se diriger vers un coin de la pièce. Elle tira sur une corde tressée rouge puis alla s'asseoir dans un des fauteuils devant l'âtre. Elle attendit en silence. Au bout d'une minute, une servante entra dans la chambre.

- Mademoiselle...
- Oui, j'aimerais que l'âtre soit allumée, qu'un repas soit apporter à monsieur et qu'une chambre voisine à la mienne soit préparer dans les plus brefs délais.
- Oui, Votre Majesté.

La domestique se retira. Mélissandre fit un clin d'oeil taquin à Kilik et rit doucement.

- Tout sera prêt dans une heure tout ou plus pour votre chambre. Pour le reste, cela ne saurait tarder.

Une dizaine de minutes plus tard, le feu était allumé et le repas était servi pour Kilik. Mélissandre, elle, n'avait pas faim puisqu'elle avait mangé quelques heures auparavent. Elle invita l'immortel à s'asseoir dans l'un des fauteuils près du sien près duquel se trouvait le plateau de victuailles diverses.

Tranquillement la porte s'ouvrit et les deux personnages apperçurent Drtsan entrer. La personnage divin entra dans la pièce où melissandre et l'immortel étaient assi. Il regrada l'homme qui se trouvait devant lui et par un air contrarié dit:

- J'espère ne pas vous dérangez?

Il prit une grande respiration et continua:

- Dâme Melissandre il me semble qu'il n'est pas le fameux Valdarius à qui vous étiez sensé donné votre main? Mais qui est donc l'heureux élu?

Il prit un autre fauteuil et s'assit dessus attendant l'expliquation de la princesse. Il ne savait pas si son père allait être d'accord, mais il ne s'en mèlerais pas car elle commençait sa vie d'adulte et elle avait le droit de décida avec qui elle voudrait se marier.

Dratsan eu un air de surprise quand la princesse avait dit qu'elle ne savait pas qui il était. Dratsan baissa la capuche qui recouvrait sa tête et le visage d'un homme parfait apparut. La lueur des flammes faisait briller ses yeux presque blanc. Avec un ton doux dit à Mélissandre:

- Vous avez aucune raison de me craidre chère. J'avoue que vous m'avez surpris en ne sachant pas qui je suis. Je pensait qu'après toutes les prières que vous faisiez, vous me connaissiez. Et bien! Je suis celui que l'on nomme Dratsan et depuis votre naissance que je vaille sur vous. Car bientôt vous posséderez se royaume. Mais j'aimerais savoir qui est cet immortel. Cela m'étonne qu'il n'ait pas reçu de mission de la part de mes frères, car tous les immortels sont en mission présentement.

-Voila ce que fait les dieu vous dite que vous veiller sur eux et apres il s'évanouisse nimporte quoi alors en attendant qu'elle se reveille tu vient manger avec moi ou tu garde ton petit air supperieur et tu reste assis a te tourner les pouce.

Kilik avait dit cela avec un grand sourire sarcastique car lui trouvait que personne n'était supperieur a personne et ne devait le respect qu'a ceux qui l'avait gagner. Si se cher dieu voulait le respect de l'immortelle, il devrait le gagner. Si il voulait que le valeureux kilik lui obéisse il devra faire quelque chose d'exeptionnel.

-Alors tu vient ou tu me boude parce que je suis pas impressionner?

Dratsan prit la jeune femme qui était étalé sur le plancher et la plaça dans son lit. Puis, il se tourna vers Killik. Il lui dit d'un air moqueur:

- Tu désire avoir son coeur et tu la laisserais couché au sol? Tu es patétique! Et dire que la princesse va te donner sa main et son coeur. Tu monte facilement en grade toi! Un immortel roi! Et bien bravo!

Il avait un large sourir sur le visages. dratsan était loin d'être le dieu le plus autoritaire au monde. au contraire, il aimait s'amusé avec les gens et parfois les frustré. Il ne savait pas si s'était parce qu'il avait passé beaucoup de temps avec les paysans, mais bon...

- J'espère que tu va mieux la traiter le jour où tu sera à la tête de ma cité.

Puis il lui planqua une solide tape dans le dos.

Kilik n'aimait pas que l'on l'insulte et qu'on le touche apres meme si cela n'est que pour l'encourager. Il fit une exception pour cette fois car cela porte vraiment malchance de frapper un dieux. Il accepta alors la petite tape mais lui dit:

-Alors pourquoi es-tu venu ici a part pour me dire quoi faire ou penser parce que vous les dieux nous ne somme que des pion qui se battre entre pour savoir qui es le dieux le plus fort mais ce n'es pas vous qui etes les plus fort lorsque vous gagner ses nous au contraire. Un jours le monde se rebellera et vous n'aurai plus aucun pouvoir mais pour l'instant profiter en... Tu veux manger ou tu resfuse pour la troisieme fois mon invitation qui sera une insulte pour moi et qui pourrait peut etre me frustrer et si tu a regarder d'en haut tu verra que lorsque je me fache je suis incontrolable. Alors tu manges ???

Dratsan changea son air souriante en air désagréable. Il regarda l'immortel avec un regard perçant. Il fouilla tout son âme. Sur un ton glacial lui dit:

- Vous êtes le pire immortel que j'ai rencontré! Et dire que vous allez être le futur roi de cette citée je n'arrive pas à croire que Mélissandre vous aime. Tant qu'à moi vous êtes pire que Valdarius. Et même si tu serais faché tu ne pourrais rien me faire. As-tu déjà vue un dieu se faire tuer par un immortel? Seul un dieu peut tuer un autre dieu. Il me semblait que toutes les immortels du monde entie le savait. Mais vous, vous êtes ...

Sa phrase s'arrêta ici. Trop en colère pour continuer il risquerait de l'envoyer en enfer. Il poussa Kilik et passa par la porte. Il quitta la chambre et dit :

- J'espère au moins que vous savez comment embrasser une femme?

Puis il continua sans se retourner.

-Premierement cher dieu je sait tres bien que je pourrai jamais vous tuer meme si je le voulais je ne pourrait pas et de toute facon c'était de l'humour haha tu connait?

Kilik sentait la colere monter en lui ses yeux commencait a tourner au rouge alors il decida de ce calmer un peu alors il prit une grande respiration.

-tu es juste frustrer parce que je ne suis pas aussi dévouer a toi que tu ne le voudrait et sache que j'ai encore beaucoup de chose a apprendre car je vivait dans les bois donc j'aimait j'ai eu l'enseignement que tous le monde ont eu alors je te serait reconnaissant de ne pas me prendre pour un petit immortelle facile a manipuler. Je ne suis au service que de melissandre et de personne d'autre a moins que vous accepteriez de me prendre comme élève et si tel est le cas et bien je t'averti je ne vouvoie pas je fait ce que tu demande mais ne soit pas autoritaire car quelque fois je me fache vite sans le vouloir. Alors essaye de ne pas m'en vouloir si je ne suis pas a ton service monssieur le dieu.

Puis il se pencha et flatta doucement le visage de cette belle melissandre et lui donna un léger baiser pour qu'elle se reveille.

Mélissandre ouvrit les yeux, l'esprit encore embrumé. Son regard était voilé par les dernières vapes de l'inconscience. La douce voix de miel de la princesse s'éleva alors.

- Kilik? demanda-t-elle doucement.

Elle sourit un court instant et rit tout aussi brièvement. Mélissandre se redressa sur un coude et prit son menton entre son index et son pouce pour approcher son visage du sien. Ses yeux trouvèrent les siens et elle caressa sa joue. La princesse posa ensuite un doux baiser sur ses lèvres.

- J'ai fait un drôle de rêve. Je ne me souviens pas m'être endormie, mais cela ne pouvait être qu'un rêve.

Mélissandre se leva et s'approcha des plateaux. La jeune fille constata que les plats étaient froids, mais surtout intacts.

- Vous n'avez rien mangé? demanda-t-elle en se tournant vers l'immortel.

La princesse parut désappointée et s'assit dans un fauteuil, en silence.

-Je n'ai pas faim, je ne mange que tres rarement car j'avait toujours besoin de survivre dans la foret et si je mangeait cela laissait des trace et mes poursuivant aurait pu me suivre donc jai habitué mon court a avoir tres peu de nourriture.

Il deposa un leger baiser sur ses douce levre puis se redressa et s'approcha de la fenetre.

-Tu as vraiment une vu magnifique ma belle meli. Tu sais je t'aime et jamais je ne voudrais te perdre alors essaye de te depeccher de regler le probleme avec ton pere sil te plait.

Il s'approcha et la prit par la taille et l'embrassa tendrement

hj:pas grand chose a dire a toi desoler pour la longeur.