Le château

-Euh cher melissandre premier pont sesse de me vouvoyer je horreur de sa. Je ne fait pas au autre ce que je veut pas me faire faire. Bon je vais quand meme aller me coucher mon belle ange mais demain viens me rendre visite sinon je ne pourrai surporter de ne pas voir ta sublime beauté.

Apres cette belle phrase kilik lui donna un dernier baiser et se retourna et sortie de la chambre mais ce retourna et dit a cette merveilleuse meli:

-fait de beau reve cher.

Puis il se retourna et sorti de la piece en ferment delicatement la porte. Il se dirigea vers sa chambre qui était juste a quelque mettre mais il n'était aucunement fatiguer alors il decida d'aller ce promener alors il se dirigea vers la porte exterieur pour aller voir son belle étalon.

(Suite au champ)

Fahir relaxait dans sa chambre habituelle. Il était couché sur son lit admirant son bâton à deux lâmes. On cogna à sa porte. Fahir se leva et alla ouvrir. Une domestique se tenait devant lui. Fahir fit disparaître son arme et s'approcha de la servante. Sur un ton infiniment doux, il lui demanda:

- Que puis-je pour vous gente dâme?

La domestique s'inclina l'égèrment et lui répondit:

- La princesse Mélissandre demande à vous voir et sur le champs!

Fahir attacha son masque dans son dos à l'aide d'une ficelle. Il ne voulait pas se présenter devant un personnage royal avec un masque. Il suivit la servante refermant la porte derrière lui. Il savait où se trouvait la chambre de la princesse, mais il se devait de suivre la servante. Il arriva enfin dans la chambre de Mélissandre. La servante s'inclina devant et lui dit:

- Le voilà, majesté.

Fahir s'avança comme il l'avait toujours fait. Il posa un genoux en terre et attendit que la princesse parle la première.

Kilik qui venais de prendre une joli et longue rendonner avec son étalon revint dans le chateau et decida d'aller voir cette cher melissandre. Alors il prit la directtion de l'escalier. Il admirait les beau murs qui avait des motif asser special. Il y avait des dessein sur des toile mais au boue du mur cela redevenait en pierre.

Il arriva enfin a l'escalier et le monta mais asser lentement. Arriver en haut il se dirigea vers la chambre de mélissandre et y entra sans frapper et vit qu'il y avait un personnage que kilik n'avait jamais vu au parravant. Il se demanda alors pourquoi il avait un genou en terre mais bon il s'addressa a la princesse et lui dit:

- J'était tanner de me promener dans le chateau et les champ et je n'ai nullement sommeil alors j'ai decider de venir te voir pour voir comment tu te porte et pourquoi il y a un homme un genou en terre et qui garde le silence devant toi cela me parait asser bizzard car chez moi quand on arrive chez quelqu'un on parle tous simplement je n'ai jamais comprit cette coutume et je trouve que cela ne sert strictement a rien.

-Ok pour toi je vais essayer de faire des efford mais jamais on ne ma appris quoi que ce soit sur ce sujet alors comment je peut mi comformer lorsque j'ignore ce que je dois faire a moins que ton cher garde du corps veuille bien me montrer et celon ce que tu ma dit tu était suposer me l'apprendre et maintenant tu me chasse parce que je ne le fait alors que tu ne ma encore rien montrer je te félicite ma belle bravo.

Kilik alla vers le garde et lui dit:

-Alors tu veut bien me montrer les politesse de ce royaume meme si je déteste cela car je veux prouver a une certaine que je tiens a elle et que je ne l'ai pas sauver dans les bois et suivit jusqu'ici pour rien. Je ne veux pas grand chose je veux juste lui faire plaisir et apprendre a vivre ici.

Kilik essaya quelque chose alors il mi maladroitement un genou en terre devant le garde et lui dit encore:

-Alors vous voulez bien me montrer?

Fahir prit place dans un fauteuil à la demande de Mélissandre. Il écouta toute la discution avec interêt. Jamais il n'avait vue la princesse dans cette état. Puis il vit l'immortel s'agenouillant devant lui à lui demander de lui montrer comment être poli. C'était la première fois que quelqu'un s'agenouillait devant lui. Fahir sentit ses joues devenir rose. Il décida de prendre la parole:

- Se n'est pas moi que vous devez supplié sire, mais bien Mélissandre car je ne fais que la servir et elle doit me donner l'otorisation de vous aidez.

La dessu il reprit son souffle, car jamais il ne s'était trouvé dans une facheuse position comme celle là. Il espèrait seleument qu'il ait dit la bonne chose.

-Oui je me comformerez a ce que ce cher me dira mais me promets tu... euh me promettez vous cher melissandre d'essayez de ne plus me vouvoyer car serieusement je suis pres a me comformer a tous les regle mais celle je ne suis réellement pas capable mais a part cela je l'apprenderai par coeur et je serait le meilleur élève qui existe comme sa ton garde du corps m'apprendra le respect et je lui montrerai quelque petite chose au combat.

Il se tourna vers la porte et marcha vers la porte. Il lança un dernier regard vers cette belle melissandre et puis il sortie de la chambre pour ce diriger vers les champs ou ce trouver son cher étalon.

Il marchait dans les corridor et en passent devant la salle a manger il vit des personne parler mais ne s'en préocupa pas et continua son chemin vers la sortie.

(suite au champ.)

Fahir avala de travers en entendant cela. Il allait éduquer à un immortel les bonnes manières du royaume. Jamais il n'avait enseigner quoi que ce soit à quelqu'un. Deplus, on parlait d'un immortel et non pas un mortel. Les immortels avaient le dons de ne pas suivre les ordres des mortels.

Fahir vint pour protester le choi de la princesse, mais il n'eu pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il se rappela les coutumes du royaume. Il les avait si bien respectées ses dernières années, qu'il ne voulait pas gâcher cela. De plus Mélissandre n'était pas vraiment d'humeur pour que son garde du corps ne respecte pas les coutumes à son tour. Il mit plutôt un genous en terre. Ce signe signifiait qu'il voulait parler, mais il devait attendre la permission de Mélissandre.

Fahir eu un lèger sourir sur le visage. Dans les trois dernières années, il avait toujours respecté les coutumes. Aidé de Mélissandre il s'assit sur un fauteuil. Il contempla son visage à la lueur des flammes. Rare était les fois où il était seul avec la princesse. Il pensa à comment il pourrait lui expliquer sans trop contrdir ses ordre, puis, après un brève instant de réflexion, il commença:

- Je ne pense pas que se soit une bonne idée que j'enseigne à cet immortel les règles et les coutumes du royaume. Je n'ai jamais enseigner à qui que se soit et je pense que débuter une nouvelle carrière avec un immortel est peut-êttre un mauvais début. De plus je crois que ma place est à vos côté. Et puis si je me trompe pas, il a plein de personne dans le château qui n'ont pas d'élèves pour l'instant. Ils pourraient enseigner à l'immortel se qu'il veut apprendre. Mais je respecterai vos choix peu importe quel sera votre descision.

Fahir se laissa flatter par la chaleur du feu. Avec ses yeux blanc miroir, on pouvait voir les flammes qui se reflètaient. Son armure blanche brillait de toute sa splendeur. Il passait beaucoup de temps à la nettoyer avant de dormir et pour la première fois, cela pouvait se voir.

Fahir prit la coupe que lui tendait Mélissandre. Il prit la coupe avec le plsu de délicatesse possible. Pour lui, c'était facile car les fées étaient réputé pour cela. Il remonta son regard qui reposait sur la coupe vers les yeux de Mélissandre.

- Je... enfin...

Il n'arriva pas à prononcer un mot. Ses joues commencèrent à devenir de plus en plus rose. Il prit un grand respire.

- je ne sais comment vous remerciez.

Il n'eu pas le temps de continuer qu'une terrible frappe ébranla tout le château. Fahir échappa la coupe de vien qu'il portais, mais réussi à la rattraper. Il fit apparaître son bâton à deux lâmes prêt à défendre la princesse.

- Quoi? s'étrangla la princesse.

Elle se leva, délaissa la main de Fahir. Son coeur chavira et la tête lui tourna. Avait-elle été victime d'une machination quelconque visant à détruire Eastall? Avait-elle été le pantin de l'immortel? La jeune Mélissandre n'en savait absolument rien et cela lui retournait l'estomac de seulement songer qu'elle était amoureuse d'un escroc, d'un menteur et d'un manipulateur. La jolie jeune fille passa des doigts tremblants dans ses cheveux.

- Il faut que j'aille voir. Je ne peux pas le croire.

Mélissandre ouvrit la porte à la volée et commença à courir dans les couloirs, ses pas résonnant en écho dans le château. Ses longs cheveux blond bouclés volaient derrière elle. La princesse sortie du palais et fonça droit à l'endroit où elle savait qu'était Kilik.